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Journalism Competition Winning Articles
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Journalism Competition Winning Articles

Our favourite entries in our recent journalism competition took too different approaches to reporting the news. Thank you for your excellent work!

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Journalism Competition for Your Classes
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Journalism Competition for Your Classes

Don't miss the deadline. We're inviting your "Cycle 4" pupils to write their own articles to send us and we'll publish our favourites on Speakeasy-News. Send us their work by 10 May.

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Le projet « Albert Londres en lycée » - Lire au CDI
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Le projet « Albert Londres en lycée » - Lire au CDI

par Anaïs Denis, professeure documentaliste et Amélie Rouveron, professeure documentaliste membre de l’APDEN Ce projet permet à des élèves, encadrés par leurs enseignants d’histoire et par les professeurs documentalistes, d’étudier la sélection des articles de presse écrite et la sélection des films documentaires en lice pour le prix Albert Londres. Il fournit également l’opportunité de rencontrer des grands reporters. Les partenaires du projet Le projet Albert Londres en lycée est un dispositif partenarial réunissant le ministère de l’Éducation nationale et de la jeunesse, le CLEMI, l’académie de Limoges, l’association Albert Londres et la SCAM (Société civile des auteurs multimédia). Deux professeurs documentalistes coordonnateurs accompagnent les enseignants dans le dispositif. Tout au long de l’opération, le professeur en charge de la classe ou du comité reste en contact avec l’un des deux professeurs coordonnateurs. Les élèves pouvant participer au projet Les participants sont des lycéens de LGT et de LP de l’académie de Limoges. Un établissement peut inscrire une classe mais aussi des élèves volontaires réunis sous forme de comité. Les objectifs du projet En lien avec le parcours citoyen, l’EMI et la lutte contre la désinformation, le projet permet aux lycéens de mieux comprendre la fabrication d’une information journalistique et de découvrir le métier de grand reporter. Les objectifs du projet pour les élèves : – explorer la richesse et la diversité des productions journalistiques ; – aiguiser leur intérêt pour les médias, l’actualité internationale et les grands enjeux du monde contemporain ; – mieux connaître le métier de journaliste et sa déontologie ; – développer des compétences en analyse d’articles de presse, d’images, de récits journalistiques ; – exercer leur esprit critique ; – affiner leur capacité à argumenter et à défendre leur point de vue ; – améliorer leur capacité à émettre un jugement critique sur une œuvre et à le formaliser par écrit ; – s’engager dans un projet de création et publication sur papier ou en ligne qui respecte droit et éthique de l’information. Les pistes de travail en classe Le travail en classe débute après une conférence inaugurale d’Hervé Brusini, président du Prix Albert Londres, qui relate la vie et la conception du journalisme d’Albert Londres ainsi que les origines et les critères d’attribution du prix. Chaque groupe (de deux ou trois élèves) travaille sur un film et un groupe d’articles. Les consignes sont les suivantes : – présenter les journalistes en compétition (parcours professionnel, œuvres et articles antérieurs, médias pour lesquels ils travaillent, pays couverts) ; – expliciter le contexte des articles et du film : pays/région du monde, contexte géopolitique et situation de la liberté de la presse ; – analyser le thème des articles et du film et la façon dont le reporter traite son sujet (prise de risques, difficultés éventuelles rencontrées, personnes interviewées, point de vue/angle d’attaque, et voir en quoi ce sujet ou cet angle d’attaque apporte quelque chose, critiques éventuelles des oeuvres par d’autres médias...), essayer de comprendre la façon dont le journaliste s’est informé (sources, accès aux données, vérification des informations…) ; – rédiger deux synthèses : une sur les articles, une sur le film. Chaque groupe tire au sort soit le groupe d’articles, soit le film à présenter, pour que toutes les œuvres en compétition soient traitées, et passe ensuite à l’oral. Les rencontres avec les journalistes Les élèves et leurs enseignants ont la possibilité de rencontrer l’un des reporters de la sélection. Lors de l’année scolaire 2021-2022, Jules Giraudat, pour son film Projet cartel : Mexique, le silence ou la mort et Alex Gohari (lauréat 2021 avec Léo Mattei) pour son film On the Line , les expulsés de l’Amérique , se sont déplacés dans plusieurs établissements scolaires. Lors de l’année scolaire 2022-2023, Martin Boudot, en visioconférence, a présenté et expliqué son travail sur la série Vert de rage. Margaux Benn, lauréate dans la catégorie presse écrite, est venue à la rencontre des lycéens. Notion info-documentaire : source La source est constituée des acteurs (personnes ou organisme) qui sont à l’origine de l’information considérée. Elle permet d’identifier le type d’information produit (journalistique, scientifique, promotionnelle, etc.) et d’estimer sa validité. Définition complète à consulter ici. Pour plus d’informations sur ce projet cliquer ici.

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What's in the News?

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What's in the News?

This article and worksheet will let you work with pupils at levels A2-B1 on media literacy and fake news. It provides lots of preparation for our student journalism competition.

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Publishing the Pentagon Papers
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Sélection culturelle

Publishing the Pentagon Papers

In this era of fake news, Stephen Spielberg’s latest film looks back at the true story of the Pentagon Papers. Publishing news of this leaked government report put investigative journalists and newspaper publishers at real risk of prosecution. And yet, against the odds, they went ahead and set the scene for the Watergate scandal. The Post tells the story of the "Pentagon Papers" – a leaked top-secret government report entitled "History of U.S. Decision-making in Vietnam, 1945-66". The report showed that four successive presidents, Truman, Eisenhower, Kennedy and Johnson, had misled the public about U.S. operations in Vietnam, ostensibly pursuing a strategy towards peace while the military and CIA were covertly expanding the war. The New York Times obtained the leaked 7,000-page report and after failing to interest Congress members in its contents, set up a secret team of journalists in a hotel for three months to comb through the report to find and verify stories. On 13 June, 1971, they published the first of a planned series of articles. On 15 June, the Nixon Administration obtained a court injunction to stop them publishing any further stories. Publish and be Damned? This is where the dilemma at the heart of the film starts. The Washington Post managed to obtain a partial copy of the report. Its publisher Katharine Graham and editor Bradlee had to decide whether to publish, sure in the knowledge that the Administration would seek an injunction against The Post too. The paper was in a fragile state financially, and about to launch a public shares offer to bolster its capital. A legal action would not appeal to investors. Publication could mean financial ruin for Graham's family, the loss of their livelihoods for the staff, and a real risk of going to prison. And yet… telling the story meant standing up for the thousands and thousands of lives that had been sacrificed in Vietnam. https://www.youtube.com/watch?v=nrXlY6gzTTM Their Day in Court Graham gave the go-ahead to publish and The Post was duly added to the Times legal action. But on 30 June, the Supreme Court examined the injunction and overturned it. In the judgement, Justice Hugo Black wrote: “In the First Amendment the Founding Fathers gave the free press the protection it must have to fulfil its essential role in our democracy. […] In my view, far from deserving condemnation for their courageous reporting, the New York Times, the Washington Post, and other newspapers should be commended for serving the purpose that the Founding Fathers saw so clearly. In revealing the workings of government that led to the Vietnam war, the newspapers nobly did precisely that which the Founders hoped and trusted they would do.” For The Washington Post it was the beginning of a new era. From a slightly provincial paper it took on a national stature. The following year, it was The Post 's Carl Bernstein and Bob Woodward who broke the Watergate scandal that led to Nixon's resignation. 1971-2017 Same Combat Although set in 1971, Spielberg's film is astonishingly contemporary. The team investigation of leaked papers echoes recent scandals like the Paradise and Panama Papers which have been revealed by an international syndicate of investigative journalists and newspapers. The film's central figure is a strong female role – the publisher Katharine Graham, the first woman to helm a national newspaper. Katharine Graham (Meryl Streep) wasn't a journalist. The Post had been in her family since her financier father bought it in 1933. In 1946, Katharine Graham's husband, Phil, took over as editor. In 1963, he committed suicide and Graham, housewife and mother of four, found herself at the head of a national newspaper. By 1971, she had found her feet, but the Pentagon Papers would be the test that would turn her into the formidable and respected publisher she became, the first woman to head a Fortune 500 company. Like last year's Spotlight , also about investigative journalism, The Post has been nominated for Best Picture Oscar, as well as a nomination for Streep as best actress. In a post-truth world, the story of women and men willing to risk all to tell the truth has truly struck a note with audiences and awards juries alike.

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Médias et réseaux sociaux : quelle information ?

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Médias et réseaux sociaux : quelle information ?

L'essor des réseaux sociaux a entraîné une mutation de la production de l'information et de la façon de s'informer. 

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Comic Notes: Joe Sacco
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Sélection culturelle

Comic Notes: Joe Sacco "Paying the Land"

Joe Sacco has been creating works of comic non-fiction for more than two decades, illustrating conflict, war and human atrocity through the medium of graphic art.

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2021 Nobel Peace Prize Supports Freedom of the Press
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Rendez-vous

2021 Nobel Peace Prize Supports Freedom of the Press

The Nobel Peace Prize has been awarded to two journalists with a long track record of fighting to protect freedom of expression: Maria Ressa and Dmitry Muratov, working in the Philippines and Russia.

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L'Union européenne contre la désinformation

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L'Union européenne contre la désinformation

Un tour d’horizon de l’action de l’Union européenne pour lutter contre la propagation des fausses nouvelles.

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International Fact-Checking Day
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International Fact-Checking Day

International Fact-Checking Day is on 2 April - the day after the annual feast of benign fake news stories and hoaxes that is April Fool's Day. It promotes fact-checking to combat malicious fake news around the world.

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Illusions perdues de Xavier Giannoli, une adaptation au service de l’étude du roman
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Sélection culturelle

Illusions perdues de Xavier Giannoli, une adaptation au service de l’étude du roman

Il fallait un sacré culot pour adapter au cinéma le texte dont Marcel Proust disait qu’il était le plus grand roman de Balzac. Si les illusions demeurent définitivement perdues, le pari de Xavier Giannolli, lui, est des plus réussis. Miroir d’un temps où abondaient les fausses rumeurs propagées par les « canards », Illusions perdues apparaît aussi, par analogie, celui de notre époque où abondent les fake news . Deux chemins vers la réussite sociale Poursuivant l’entreprise d’Honoré de Balzac, Xavier Giannoli met en scène la transformation d’un caractère trop innocent pour être absolument honnête. Si Lucien Chardon, apprenti-imprimeur d’Angoulême, apparaît effectivement au départ comme un poète idéaliste, sa montée « à la capitale » ne tarde pas à balayer ses scrupules. Les élèves, dès le visionnage de la bande-annonce, seront d’ailleurs sensibles aux transformations physionomiques du personnage, entre la situation initiale où il dédie son recueil de poèmes à sa noble protectrice, Madame de Bargeton, et le cœur de l’action où Lucien de Rubempré pense avoir définitivement conquis le Tout-Paris de la Restauration. Dans le roman, le héros de Balzac est immédiatement confronté à un dilemme : choisir entre « le Cénacle » et le Journalisme, ou si l’on préfère, entre l’anonymat et le renom. Le film amplifie ce ressort dramatique en soulignant les tiraillements du héros, amant « romantique » d’une jeune et belle comédienne (Coralie) et – en même temps – billettiste sans foi ni loi. La tentation de l’argent et du vice Pour faire son trou dans le petit monde des lettres, il faut moins du génie que des relations. Au contact d’Étienne Lousteau, rédacteur en chef d’un des nombreux « canards » chargés de faire la pluie et le beau temps sur les sorties théâtrales et les livres fraîchement édités, Lucien va devoir faire le deuil de ses belles illusions. La représentation cinématographique d’une presse d’autant plus florissante qu’elle est sans déontologie permettra aux élèves de 2 de de faire le lien entre deux parties du programme, le roman et la presse. Aux heures fastes du « boulevard du Crime », où se croisent prostituées, écrivains et journalistes, pour qu’un livre soit acheté en nombre, pour qu’une pièce fasse salle comble, tout dépend de la capacité des « canards » à provoquer la « claque », autrement dit, à faire le « buzz ». Guidés par l’appât du gain, ces derniers se rangent prioritairement du côté du directeur de théâtre ou de l’éditeur le plus offrant. Dans le roman qui sert de trame scénaristique à l’adaptation cinématographique, Balzac s’était plu à décrire cette société faussement lettrée qui a fait du paraître son maître-mot. Or l’auteur lui-même, pour Illusions perdues notamment, a été « descendu » par quelques plumes acérées dont celle de Jules Janin qui dans Le Corsaire (journal où écrit Lucien) persifflait : «  Ce livre, dans lequel on n’entre que comme dans un égout […]  ». Une chute brutale et cruelle Tout rapprochement de ce théâtre des vanités avec les mœurs de la cour versaillaise dans Ridicule (1996) de Patrice Leconte ne serait dès lors nullement fortuite, pas moins que l’affairisme journalistique épinglé dans Bel-Ami (1885) de Maupassant. D’abord, « plume » dans un journal « libéral », Lucien se fait acheter par un journal « royaliste ». Opportuniste par esprit de revanche, Lucien fait le pari risqué d’être des deux bords à la fois, se mettre du côté du Roi pouvant lui permettre de récupérer la particule de sa mère : « De Rubempré ». Un film pour disserter et s’enrichir culturellement En regard avec le roman dont il s’inspire, le film peut permettre d’engager la problématique de dissertation suivante centrée la personnalité du héros : « Dans quelle mesure Lucien, tel qu’il apparaît dans le roman et dans le film, peut-il être caractérisé comme un personnage paradoxal, tiraillé entre sonmoi profond et son moi social ?  » Outre ses qualités cinématographiques propres, le film de Xavier Giannoli met en scène tous les genres littéraires : poésie, roman, théâtre (Coralie jouant par exemple la Bérénice de Racine) et textes d’idées, à travers le thème omniprésent de la presse. De plus, du point de vue de la réception des élèves, le jeune âge du personnage principal et de sa compagne ne peuvent que renforcer une forme de lecture mimétique. La confrontation du roman donnera ainsi lieu à une séquence qu’on pourra intituler « Des Marguerites aux canards déchaînés ». Les trois premiers titres retenus ici sont repris du chapitre 10, « Parcours initiatiques », proposé dans le manuel Nathan 2 de , Horizons pluriels , qui étudie cinq extraits de la deuxième partie d’ Illusions perdues , p.241-246.

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La liberté de la presse dans le monde

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La liberté de la presse dans le monde

Médias muselés, journalistes assassinés, désinformation : la liberté de la presse en danger.

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Chaud devant ! Dessine pour demain - Lire au CDI
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Chaud devant ! Dessine pour demain - Lire au CDI

Par Claire Rouveron, professeure documentaliste membre de l’A.P.D.E.N Le projet « Chaud devant ! Dessine pour demain » se donne pour ambition de travailler le dessin de presse avec une classe de 6e sur des thématiques écologiques, dans une perspective d’éducation au développement durable. Alliant les objectifs disciplinaires des professeurs d’histoire-géographie-EMC, de français et du professeur documentaliste, le travail artistique de réalisation d’un dessin d’actualité est complété par la rédaction d’un poème en français. Le tout est rassemblé dans une exposition interactive associant productions plastiques et numériques. Décoder le dessin de presse En premier lieu, les élèves découvrent l’exposition « Dessine-moi l’écologie 1 » réalisée par l’Association Cartooning for Peace. Celle-ci traite, notamment, des enjeux liés à la pollution, à la gestion des déchets, aux migrations climatiques, aux catastrophes naturelles ou encore à la biodiversité, afin de sensibiliser au dérèglement climatique et d’inciter à s’engager en faveur d’un monde durable. Le professeur documentaliste aborde avec les élèves l’histoire du dessin de presse, questionne le statut du dessinateur de presse, également journaliste, analyse les enjeux de la liberté d’expression et de la presse. Un dessin, oui, mais surtout un message, un engagement et un point de vue exprimés. Les techniques et les figures de style utilisées dans le dessin de presse, à visée souvent satirique, sont étudiées en coopération avec le professeur de français : le paradoxe, la personnification, la caricature, etc. Réaliser un dessin de presse sur l’environnement En second lieu, les élèves investissent les connaissances théoriques acquises précédemment dans la réalisation plastique d’un dessin de presse. Encadrés par un dessinateur de presse professionnel et par les professeurs de la classe, et plus particulièrement le professeur d’histoire-géographie, ils réfléchissent tout d’abord à la problématique environnementale qu’ils souhaitent aborder. Pour ce faire, un corpus de romans et de livres documentaires leur est proposé comme sources d’inspiration 2 . Puis, pendant cinq séances, les élèves apprennent des techniques de dessin, des tracés de personnages, d’animaux, de décors. Ils réfléchissent également à la notion de slogan, à la petite phrase « choc » qui accompagnera et dénoncera la situation mise en images. Les dessins ont vocation à être exposés, accompagnés d’un texte explicatif (genèse du choix de la problématique soulevée, techniques artistiques utilisées, solutions proposées pour un avenir durable, etc.). Écrire un poème : « Demain... » En troisième et dernier lieu, en complément du texte d’accompagnement du dessin, les élèves s’essaient à une autre forme d’écrit plus littéraire : le poème. En vers ou en prose, c’est au choix de chacun, les élèves racontent une histoire sur l’avenir, sur « Demain... ». Pour amorcer le travail d’écriture, les élèves sont invités à participer collectivement à un « remue-méninge » autour du mot « environnement ». Les élèves doivent noter sur des post-its tous les mots qui leur viennent spontanément à l’esprit. Les mots sont ensuite collés au tableau puis recopiés et classés en deux catégories : « problèmes » et « solutions ». Les élèves ont alors la possibilité de « piocher » des idées parmi les mots notés ou d’en choisir de nouveaux afin de rédiger leur poème pour la planète de demain. Les élèves s’entraînent ensuite à la lecture de leur texte à voix haute, dans l’optique de créer des enregistrements sonores qui seront intégrés à un livre numérique regroupant les dessins et poèmes réalisés par l’ensemble des élèves. La production numérique complète alors la production plastique dans une exposition interactive proposée à l’ensemble des élèves et des personnels de l’établissement. 1. https://www.calameo.com/read/00252483963363b29b93b 2. Une sélection partielle est proposée dans la bibliographie ci-dessus. NOTION INFO-DOCUMENTAIRE : EXPLOITATION DE L’INFORMATION L'exploitation de l'information comprend différentes actions de traitement (sélection, prise de notes, évaluation et référencement de l'information pertinente) permettant de comprendre, d'organiser et d'utiliser l'information pour répondre à ses besoins. Notion organisatrice de journalisme. Définition complète à consulter sur : https://wikinotions.apden.org/notions.php?p=consult&nom=Exploitation%20de%20l%27information BIBLIOGRAPHIE Documentaires • Ça chauffe pour la planète ! : 60 dessins de presse , Gallimard loisirs, 2018. • Jacques Azam, C'est quoi, l'écologie ? : nos réponses dessinées à tes questions pressantes , Milan jeunesse, 2017. • Karine Balzeau, Clémence Lallemand, Trier les déchets, ça sert à quoi ? : et toutes les questions que tu te poses pour protéger la planète... , Fleurus, 2018. • Karine Balzeau, Laurent Audouin, Défis zéro déchet : 32 défis à relever pour protéger la planète ! , Rusti'kid, 2019 et 2020 • Emmanuelle Figueras, Terramania : biodiversité, écologie, écosystèmes , Milan jeunesse, 2018. • Sophie Frys, Vis une année sans plastique ! : en 52 missions , Fleurus, 2020. Romans • La série de Thierry Colombie, Polar vert , chez Milan jeunesse : 1. Les Algues assassines , 2021 ; 2. Anguilles sous roches , 2022 ; saison 2 - 1, La Malédiction de l’ours , 2022 ; saison 2 - 2, Les Arbres magiques , 2023.

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Rencontre avec les enseignants-auteurs en français

Rencontre avec les enseignants-auteurs en français

« Puisqu’enseigner, c’est transmettre, devenir auteur chez Nathan m’a permis de transmettre à mon tour ce que j’ai appris dans les classes qui m’ont été confiées. » Claire Beilin-Bourgeois, 20 ans dans l’enseignement J’ai grandi dans une famille d’instituteurs dont j’admirais l’implication et la rigueur. Enseigner m’a toujours semblé une belle mission. J’ai beaucoup aimé travailler avec des élèves en grande difficulté, dans le cadre de dispositifs adaptés en 4 e . Une année, on avait choisi d’accorder plus d’importance à l’enseignement musical. Quand l’attention des élèves faiblissait, on chantait un peu – ils aimaient particulièrement « Armstrong » de Nougaro – et on repartait !  Les manuels auront pour moi un triple objectif. Le retour de la grammaire permet de poursuivre le travail amorcé au collège et d’enseigner la norme linguistique, à l’écrit et à l’oral. Avec l’étude des textes, on veut transmettre les bases d’une culture littéraire en vue des exercices du BAC. Enfin, le but de ces deux années de français est aussi de proposer des textes intéressants et accessibles, pour faire goûter aux élèves - et aux adultes qu’ils vont devenir - l’immense plaisir de la lecture.     « J’avais besoin de donner du sens à mon quotidien, et le contact avec les élèves m’a enrichie. » Florence Renner , 41 ans dont 10 dans l’enseignement, Institut Notre-Dame à Meudon (Seconde – Première) J’ai choisi le métier d’enseignant après être passée par le marché de l’art, le journalisme et l’édition. J’avais besoin de donner du sens à mon quotidien, et le contact avec les élèves m’a enrichie. Je venais aussi de soutenir un doctorat en Lettres, et j’avais pris beaucoup de plaisir à parler de littérature face à un auditoire pourtant pas facile. Après la soutenance, je me suis lancée. Mon plus beau souvenir, c’est un petit mot d’une élève très discrète et très fragile, que j’avais demandé à suivre deux années de suite, en 3 e puis en 2 e , et qui m’a offert en fin d’année de 2 e une petite boîte de chocolats en forme de cœur avec un post-it collé dessus. Sur le post-it : « Merci Madame, vous avez changé ma vie » … Travailler chez Nathan me permet de lier mon métier d’enseignant à mon ancien métier dans l’édition, et de garder un pied dans les deux domaines en même temps ! Mon objectif pour la rédaction du futur manuel sera d’aider les professeurs à s’approprier les nouveaux programmes, à mieux comprendre les nouveaux « termes » qu’ils comportent (Parcours, Prolongement, etc.), mais aussi leur donner de nouvelles idées de textes à faire découvrir à leurs élèves. J’espère que le manuel sera pour eux un outil qui leur permettra d’y voir plus clair dans les attentes du ministère quant à l’application de ces nouveaux programmes.   « J’aime quand la salle de classe se transforme en salon littéraire… » Anne Revert , 43 ans, enseignante au lycée Saint Exupéry à Saint-Raphaël (Terminale L, BTS) et formatrice académique pour les enseignants. J’aime sourire à mes élèves, voir leurs yeux pétiller lorsqu’ils mesurent la beauté des mots et des idées d’un auteur ou d’un artiste, aller chercher le meilleur chez chacun, j’aime leur lire des textes. J’aime quand la salle de classe se transforme en salon littéraire, en atelier d’écriture ou en tournoi de slam à la tombée de la nuit. Pour le manuel à venir, mon objectif sera de choisir des documents qui parleront aux élèves, qui résonneront et les accompagneront dans leurs parcours.     « J’espère donner à nos élèves le goût de la lecture… » Natacha Vas-Deyres , 49 ans dont 25 d’enseignement, Académie de Bordeaux et Université Bordeaux Montaigne (Premières, Terminales et Licence) Spécialiste des littératures de l’imaginaire (Science-fiction, anticipation, utopie…), j’ai réalisé des dossiers pour la NRP et élaborer collectivement un manuel de littérature est une aventure passionnante. Avec le futur manuel, j’espère donner à nos élèves le goût de la lecture et partager notre passion pour la culture et la littérature.   « Un futur manuel utile aux enseignants » Anne Cassou-Noguès , 42 ans dont 19 d’enseignement, Lycée Jacques Monod à Clamart (Seconde et Première) Dans le cadre des Prix littéraires d’Ile de France, j’ai fait jouer des extraits de Avant de dispara î tre de Sylvain Pattieu le 14 novembre 2015. J’ai eu le sentiment que la littérature faisait sens pour les élèves et pour moi.  Je souhaiterais que le futur manuel soit utile aux enseignants. J’aimerais donner des idées originales pour faire face à un programme qui risque d’être un peu répétitif.   « J’aimerais que les élèves prennent plaisir à lire le manuel » Françoise Rio , 52 ans dont 22 d’enseignement, Lycée Jeanne d’Albret à Saint-Germain-en-Laye (Seconde, Première) Une perle de mes élèves : À propos de la découverte de l’adultère dans La Princesse de Montpensier , lu dans un écrit d’élève de 1 ère L : « le mari entre dans la chambre de sa femme et découvre le poteau rose… » au lieu de « pot aux roses… » Mon objectif pour la rédaction de ce manuel sera de tenir les délais et de faire en sorte que les élèves prennent plaisir à le feuilleter, voire à le lire en dehors des prescriptions de leur professeur.   « Quel meilleur moyen de faire vivre la connaissance que de la partager ? » Laurence Méric-Bonini , 51 ans dont 30 ans d'enseignement « hou, là, là, déjà ! ... », Lycée Jean Perrin à Rezé (Français en Seconde et Première / Latin en Seconde, Première et Terminale) Je souhaiterais offrir aux élèves et aux collègues des ressources riches et variées qui guident sans brider la créativité, l’imagination.       « Le plus beau métier du monde ! » Coralie Nuttens , 45 ans dont 20 ans d’enseignement, Collège et Lycée Stanislas à Paris Mon plus beau souvenir ? Quand un élève me dit que je lui ai donné le goût de la littérature. Pourquoi avoir choisi d’être auteur chez Nathan ? Pour les éditrices  Mon objectif pour le futur manuel ? L’excellence pour motiver les élèves !      « Quand les élèves ont les yeux qui pétillent » Violaine Carry , 33 ans dont 9 ans d’enseignement, Collège Notre-Dame de Lourdes à Paris 20 ème (classes de 5 ème et 3 ème ) Quels sont vos plus beaux souvenirs en rapport avec l’enseignement ? Quand un élève s’exclame « J’ai compris ! » et que ses yeux pétillent. Quand ils disent « Déjà ? » au moment où la sonnerie retentit. Une perle d’un élève ? Jouer au passé simple qui donne « je jouis » « J’aime le sérieux et la convivialité de Nathan » Fabrice Carnet , 26 ans d’enseignement, Lycée Edouard Branly à Lyon (Seconde, Première) et formateur à l'ESPE de Lyon Mon objectif sera de repenser l’interaction lecture-écriture par l’usage du carnet de lecture ; la rencontre avec les œuvres et les événements liés aux parcours de formation culturelle des élèves.  

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