Résultat de recherche pour "crime de guerre"

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Qu'est-ce qu'un crime de guerre ?

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Qu'est-ce qu'un crime de guerre ?

Une vidéo pour comprendre le droit international humanitaire et son application.

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Quand l'art devient une prise de guerre

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Quand l'art devient une prise de guerre

Le pillage du musée de Melitopol par l’armée russe révèle les enjeux de l’art dans la guerre.

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Quel droit de la guerre aujourd'hui ?

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Quel droit de la guerre aujourd'hui ?

Une analyse de la violation du droit de la guerre dans les conflits actuels et sur l'état du système international.

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La guerre en Ukraine au regard de Clausewitz

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La guerre en Ukraine au regard de Clausewitz

La pensée clausewitzienne sur la guerre demeure pertinente pour analyser l’actuel conflit russo-ukrainien.

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L'expansionnisme russe : la guerre en Ukraine (2022)

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L'expansionnisme russe : la guerre en Ukraine (2022)

Un dossier inédit sur la guerre en Ukraine. 

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[HGGSP] Que nous apprend l'histoire sur la guerre en Ukraine ?

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[HGGSP] Que nous apprend l'histoire sur la guerre en Ukraine ?

Une vidéo accompagnée de cartes répondre aux questions de vos élèves sur la guerre en Ukraine.

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Le procès de Nuremberg

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Le procès de Nuremberg

Une présentation du déroulé du procès de Nuremberg et son contexte, pour en souligner son importance historique.

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L'ONU depuis 1945

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L'ONU depuis 1945

Créée pour assurer le maintien de la paix dans le monde, l'ONU est confrontée à de nombreux défis.

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Manœuvres cybernétiques et contrôle territorial

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Manœuvres cybernétiques et contrôle territorial

Comment la manipulation des routes de l’Internet permet-elle l’appropriation numérique du territoire ukrainien par la Russie ?

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Conseil lecture : Petit pays

Conseil lecture : Petit pays

L'adaptation de « Petit pays », récit à résonance autobiographique de Gaël Faye en roman graphique.

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La liberté de la presse dans le monde

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La liberté de la presse dans le monde

Médias muselés, journalistes assassinés, désinformation : la liberté de la presse en danger.

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Les guerres dans le monde depuis 1945

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Les guerres dans le monde depuis 1945

L'évolution des conflits depuis 1945 : nature, formes et enjeux des guerres modernes. Une analyse géopolitique.

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Lyon: Crime (Fiction) Capital
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Sélection culturelle

Lyon: Crime (Fiction) Capital

France’s biggest crime-fiction festival is back at its usual time of year, 1-3 April, after a Covid-delayed edition in July 2021. For its 18 th edition it has a large roll-call of writers from France and around the world, including many from the U.K. and the U.S. Alongside stars like Harlan Coben, John Grisham and Paula Hawkins, you’ll also find the cream of Scottish noir: Val McDermid, Irvine Welsh, Abir Mukherjee, and the wonderful Chris Brookmyre. (If you don’t know his work, you don’t know what you’re missing!) If you haven’t discovered him yet, Richard Osman, comic turned bestselling crime author, who has set his books in an old-people’s community that has a Thursday murder club (the point being to solve cold cases, not to commit murders, although...) Alongside stars like Harlan Coben, John Grisham and Paula Hawkins, you’ll also find the cream of Scottish noir: Val McDermid, Irvine Welsh, Abir Mukherjee, and the wonderful Chris Brookmyre. (If you don’t know his work, you don’t know what you’re missing!) If you haven’t discovered him yet you can meet Richard Osman, comic turned bestselling crime author, who has set his books in an old-people’s community that has a Thursday murder club (the point being to solve cold cases, not to commit murders.) On Saturday at 2.30 p.m. there’s a presentation of a crime novel written by a binational duo of authors, one French and one German. It’s called Terminus Leipzig , by Jérôme Leroy and Max Annas. At 4.30 there’s an hour with John Grisham on the differences between the U.S. and French justice systems. Just time to get a few books signed in between! At 5 p.m., three American authors, Kimi Cunningham Grant, David Joy and John Woods, will discuss a region that fascinates them, the Appalachian mountains . And for a complete change of scene, a South African meal at 7.30 with three authors, Deon Meyer, Caryl Férey et Max Annas and a Cape Town chef. It’s worth getting up early on Sunday for a 9.30 cruise on the Rhine with Girl on the Train author Paula Hawkins . At 10.30, catch Val McDermid discussing the importance of place in crime fiction with French author Sonja Delzongle and Arnaldur Indriðason from Island. Or at 11, join a discussion about the modern “cosy” mystery (think Cluedo or Agatha Christie) with British authors S. J. Bennett and Richard Osman, and Jeon Gunwoo from South Korea. Would-be crime writers will have to choose between two events centred more on the technique of crime fiction at 2 p.m. on Sunday, one on suspense and the other on action . (The latter is a chance to meet Chris Brookmyre.) At 5, you can catch a discussion about using real historical characters in crime fiction with British authors S. J. Bennett and Abir Mukherjee,  Peter Dempf from Germany and Raphaël Malkin from France. There’s also space in the programme for film and TV adaptations. On Thursday at 7 p.m., Michel Barnier will discuss Hitchcock and suspense. On Friday 1 st at 3.45 p.m., a preview showing of Irvine Welsh’s TV series Crime , and a chance to talk to the Trainspotting author afterwards. [embed]https://youtu.be/pTGGUF4euTE[/embed] Don’t miss Daniel Craig in a very different role from Bond in Knives Out on Friday at 8.30: a crime film about the murder of a crime writer called Harlan. [embed]https://youtu.be/tn68kE6UkVQ[/embed] Talking of Harlans, catch Harlan Coben by video link for a showing of his “made in France” film Ne le dis à personne directed by Guillaume Canet, also on Friday at 8.30. Three of American director Michael Mann ’s urban crime films will be shown on Friday and Sunday, Thief, Heat and Miami Vice. There are lots more events, games, exhibitions and music. Check out the programme . Quais du polar 1-3 April at various venues in Lyon.  

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Qu'est-ce que la guerre ?

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Qu'est-ce que la guerre ?

Quand peut-on dire « nous sommes en guerre » ? De l’importance de définir le terme de guerre pour décrypter son usage …

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Tardi, C'était la guerre des tranchées

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Séquence pédagogique

Tardi, C'était la guerre des tranchées

Cette séquence pour les 3e propose d'étudier un récit complexe et de découvrir le genre de la bande dessinée à travers l'oeuvre du XXe siècle de Tardi, C'était la guerre des tranchées .

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Conseil lecture : La Guerre du sport

Conseil lecture : La Guerre du sport

De la Coupe du monde au Qatar aux JO : le sport est aujourd'hui le théâtre des affrontements géopolitiques.

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Vers des guerres dans l'espace ?

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Vers des guerres dans l'espace ?

La conquête spatiale met en compétition les puissances mondiales, autour d’enjeux économiques et géopolitiques.

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Information et médias dans la guerre d’Ukraine

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Information et médias dans la guerre d’Ukraine

Anna Colin Lebedev explique comment la manipulation de l’information est devenue une arme dans la guerre d’Ukraine.

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Soft power : la guerre des universités

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Soft power : la guerre des universités

Lieux de production de la connaissance, les universités ont aussi un poids dans l'affirmation de la puissance des États.

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Crime et Châtiment de Dostoïevski, adapté par H. Iwashita - Pédagogie
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Crime et Châtiment de Dostoïevski, adapté par H. Iwashita - Pédagogie

Par Clément Hummel, professeur de Lettres modernes Séquence réalisée en partenariat avec les éditions Kurokawa Est-il raisonnable de donner à lire et à étudier à des élèves de lycée un texte aussi vaste et aussi complexe que Crime e t Châtiment de Fiodor Dostoïevski ? Si on omet la longueur du roman pour lui préférer une lecture par extraits, celle-ci pourra dérouter des élèves aux capacités de lecture très hétérogènes, pas tant pour son style en réalité plutôt accessible, qu’en ce qui concerne la puissance conceptuelle de l’œuvre : ce roman développe des propos philosophiques complexes qui méritent un accompagnement, et un temps d’étude. L’adaptation en manga rend les idées exprimées à travers le parcours et la philosophie de Rodion Raskolnikov accessibles à des adolescents dont le regard sur le monde prend de l’ampleur et se construit à partir d’expériences personnelles comme de la fréquentation des œuvres de fiction, qu’elles soient littéraires ou cinématographiques. Cette œuvre peut ainsi trouver sa place en 2 de , en lecture cursive en 1re dans le parcours « Personnages en marge, plaisirs du romanesque » et pourquoi pas également en HLP.   Lire Dostoïevski ? Pour contourner les principales difficultés de l’œuvre – sa longueur, l’exposition de doctrines philosophiques abstraites, l’arrière- plan historique et religieux – il serait tout à fait envisageable de proposer une version abrégée de l’oeuvre à destination d’un public scolaire, expurgée de passages descriptifs dont les enjeux littéraires et culturels – la Russie à la fin de l’époque des tsars – peuvent paraître éloignés de ceux de la France du XXI e siècle. Or, il n’existe pas, pour l’heure, d’édition abrégée de Crime et Châtiment . Plusieurs fois adapté au cinéma, notamment par Georges Lampin en 1956 avec Jean Gabin et Robert Hossein, l’histoire reste accessible de façon condensée sur d’autres supports. Néanmoins, l’étude d’un film mobilise d’autres compétences de lecture et d’analyse que celles que l’on peut chercher à développer chez des lycéens, d’autant plus que l’effet de séduction de l’œuvre risque d’être mineur. Alors, de la même manière que la lecture des Misérables en 4 e se conçoit difficilement sans le recours à la version abrégée, lire Crime et Châtiment au lycée peut-il s’envisager par le biais du manga ? Évitons le débat sur la légitimité de présenter en lecture cursive ou en œuvre intégrale une œuvre « librement inspirée », pour reprendre les mots de l’éditeur, du matériau d’origine, qui plus est quand celle-ci réduit le texte littéraire pour offrir un support visuel avec ses codes spécifiques, et posons la question dans l’autre sens : que peut apporter à des lycéens la lecture de l’adaptation en manga de Crime et Châtiment , réalisée par Hiromi Iwashita 1 ? Le manga comme nouvel avatar du mythe littéraire Plutôt que de considérer l’adaptation comme une réduction ou une trahison du roman de Dostoïevski, voyons celle-ci comme une nouvelle hypothèse de lecture. Dans une lettre envoyée à Mikhaïl Katkov, fondateur du Messager russe, datée du 25 septembre 1865, Dostoïevski décrit un projet de nouvelle, annonciateur des grands thèmes de Crime et Châtiment : déjà, les ambitions de Dostoïevski étaient de présenter une œuvre dans l’immédiateté de son époque. Bien que les errances philosophiques de Raskolnikov confèrent au roman la forme de l’apologue, l’action décrit essentiellement un monde urbain en pleine transformation architecturale, politique et sociale, dont le grand paradoxe est que pour se rendre à la prestigieuse université où ont lieu les enseignements et débats d’idées tirés des Lumières, les étudiants comme Raskolnikov habitent en périphérie de la ville, dans de minuscules chambres crasseuses et misérables, et vivent dans une grande solitude. Ces deux mondes sont partagés par une frontière elle-même paradoxale, la majestueuse mais dangereuse Neva : son omniprésence à Saint-Pétersbourg est l’occasion de nombreuses inondations, mais c’est en la contemplant symbole si romantique, que Raskolnikov échafaude sa philosophie. Dans le manga, Raskolnikov a deux scènes d’épiphanie quand il la traverse. Une première fois, après avoir caché les bijoux volés, la vue de la Neva apaisée lui inspire un profond sentiment de nostalgie : « Quand j’allais à l’université, je traversais ce pont tous les jours. Revoir la majestueuse Neva me fait quelque chose. J’ai souvent eu des idées révolutionnaires ou ai réfléchi à des questions philosophiques en contemplant ce paysage, mais j’ai fini par cesser de penser. » La seconde précède sa recherche d’expiation, faisant face au fleuve déchaîné sous la pluie : « Ce que je crains le plus c’est de connaître la honte. Je ne supporte pas de voir les inégalités de la société. Je ne peux plus faire semblant de ne rien voir. […] Je voulais qu’il soit plus fort que celui de quiconque ! Mon orgueil !! » Si le passage au support graphique éloigne le narrateur dostoïevskien, la focalisation se fait sur Raskolnikov qui devient narrateur-personnage et amène plus naturellement le lecteur à comprendre sa pensée, ses actes. On échappe de cette manière au risque d’une première lecture manichéenne du récit, dans laquelle le lecteur ne pourrait moralement se ranger du côté du personnage. Cette simplification permet au contraire de nuancer la lecture et on accompagne de cette manière Raskolnikov dans sa solitude, sa misère, ses égarements, sa folie et sa recherche de rédemption. En toile de fond se trouve représentée Saint-Pétersbourg dans un style semi-réaliste dont l’architecture et l’urbanisme sont assez fidèlement reproduits, parvenant à rendre sensibles l’extrême pauvreté de certains quartiers et la beauté architecturale de la ville, qui s’industrialise au début des années 1860. Cette précision du style graphique illustre le propos de Bakhtine à propos du roman, que l’on pourrait rapprocher d’un effet de réel chez Barthes : « Le seuil, l’entrée, le couloir, le palier, l’escalier, ses marches, les portes ouvertes sur l’escalier, les porches dans les cours puis, au-delà, la ville, les places, les rues, les façades, les cabarets, les bouges, les ponts, les fossés, voilà l’espace de ce roman. En fait, on n’y trouve jamais les intérieurs qui ont oublié le seuil (salons, salles à manger, salle de fête, cabinets de travail, chambres à coucher) et où se déroulent les événements et la vie biographique dans les romans de Tourgueniev, Tolstoï, Gontcharov, etc. Nous découvrons évidemment la même organisation de l’espace dans les autres romans de Dostoïevski 2 . » Pour Maria Gal, qui travaille sur la représentation du mythe urbain de Saint-Pétersbourg chez Dostoïevski, « Crime et Châtiment, publié en 1866, est considéré comme le plus pétersbourgeois des romans dostoïevskiens, à tel point qu’il est devenu l’un des emblèmes de la ville, et a été intégré à son patrimoine culturel. Aujourd’hui, le Saint-Pétersbourg de Crime et Châtiment est valorisé, et organisé en circuits touristiques de manière à répondre à la demande du touriste-lecteur venu parfois de loin pour parcourir les itinéraires de Raskolnikov. » La description de la ville oscille sans cesse entre écriture réaliste et fantastique : réalisme car Dostoïevski y peint à la fois la physionomie de la ville et celle de la population péterbourgeoise ; fantastique pour les nombreuses évocations oniriques qui parcourent le roman. Il y a donc une ville « vraisemblable, typographiquement exacte » et une autre avec laquelle elle coexiste en contradiction qui se présente comme une « entité vivante et néfaste » 3 . La richesse de la description de la ville permet au roman de ne pas se réduire à l’exposition de ses théories philosophiques. 1. L’orthographe des noms propres utilisée dans l’article reprend celle du manga. 2. Mikhaïl Bakhtine, La Poétique de Dostoïevski , chapitre 2, Paris, Le Seuil, 1970. 3. Maria Gal, « Le Saint-Pétersbourg de Dostoïevski : de la généralisation du mythe urbain à l’individualisation de l’espace vécu », Territoire en mouvement Revue de géographie et aménagement, 31 | 2016.

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La guerre de Troie n'aura pas lieu - Jean Giraudoux

Téléchargez  gratuitement le livret pédagogique de La Guerre de Troie n’aura pas lieu de Jean Giraudoux pour accompagner vos élèves dans l’étude de cette œuvre engagée.

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Le camp d’Auschwitz

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Le camp d’Auschwitz

193 photos prises par des SS à Auschwitz révèlent l'horreur de la sélection des Juifs hongrois en 1944. Décryptage.

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