Résultat de recherche pour "Domination coloniale"

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La société coloniale en Algérie

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La société coloniale en Algérie

Une reconstitution de la société coloniale algérienne et de ses inégalités, à partir d'images d'archives.

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Israël-Palestine, l'origine d'un conflit ancien

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Israël-Palestine, l'origine d'un conflit ancien

Comprendre les origines du conflit israélo-palestinien et faire le point sur les différentes guerres et leurs conséquences.

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Mémoires d’un esclave, Oluale Kossola

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Mémoires d’un esclave, Oluale Kossola

À partir d'un itinéraire particulier, cette émission propose une histoire de la traite atlantique.

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Conseil lecture : « Une histoire globale des révolutions »

Conseil lecture : « Une histoire globale des révolutions »

Rédigé par des spécialistes du monde entier, le livre explore la richesse de l'histoire révolutionnaire.

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La batterie, une filière dominée par la Chine

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La batterie, une filière dominée par la Chine

Grâce à ses ressources en lithium, la Chine est devenue le leader mondial de la production de batteries électriques.

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La voiture électrique : une domination chinoise

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La voiture électrique : une domination chinoise

Au regard des enjeux qu’elle représente, la voiture électrique exacerbe la compétition entre acteurs et territoires.

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Les déchets électroniques dans le monde

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Les déchets électroniques dans le monde

Cet article permet de cartographier l'inégale gestion des déchets électroniques dans le monde.

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Le génocide des Tutsis au Rwanda

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Le génocide des Tutsis au Rwanda

Cette vidéo retrace les principales étapes du génocide des Tutsis par les Hutus.

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La filière du cacao : organisation et défis

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La filière du cacao : organisation et défis

Pénurie de chocolat en vue ? Marché dominé par le Nord, modèle de production défaillant, changement climatique.

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La puissance maritime : un enjeu clé au XXIe siècle

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La puissance maritime : un enjeu clé au XXIe siècle

De la navigation à la pêche, les multiples atouts nécessaires pour dominer les mers et s'imposer sur la scène mondiale.

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La course à l'espace : l'Europe à la traîne ?

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La course à l'espace : l'Europe à la traîne ?

L'UE est en difficulté dans la compétition spatiale dominée par les États-Unis et SpaceX.

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La fleur, une chaîne de valeur mondialisée

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La fleur, une chaîne de valeur mondialisée

Toujours dominé par les Pays-Bas, l'industrie florale s'est mondialisée avec une diversification de ses espaces et de ses acteurs.

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À quoi sert la Francophonie ?

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À quoi sert la Francophonie ?

La tenue du 19e Sommet de la Francophonie à Villers-Cotterêts est l'occasion de faire le point sur le rôle de l’OIF. 

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Barbados Elects its First President
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Barbados Elects its First President

On 21 October, the Caribbean nation of Barbados took the first step towards becoming a republic when the joint houses of Parliament chose Dame Sandra Mason as the country’s first president, to replace Queen Elizabeth II as head of state. Ms Mason, a trained lawyer and former magistrate, has been the Governor-General of Barbados since 2018: the representative of the British Crown on the island. Barbados will officially become a Republic on 30 November, its annual Independence Day, joining three other former British colonies in the Caribbean which have replaced the British monarch with an elected official: Guyana, Trinidad and Tobago, and Dominica. All three remained members of the Commonwealth, which Barbados also intends to do. A committee is currently working on a new citizens'  charter for the new President to read out on Independence Day, and next year Parliament will make proposals for new Constitution. When the decision to move toward Republic status was approved in 2020, Governor General Mason, delivering a speech on behalf of the country’s Prime Minister Mia Mottley, said, “The time has come to fully leave our colonial past behind.” Barbados was a British colony from 1627 century until independence in 1966. Colonists resorted to slave labour to produce sugar, with the result that today the population is in large majority descended from enslaved African people. Today it has a population of 285,000 and an economy based around tourism, finance and sugar production. This would be a good update for Shine Bright 1e File 7 Caribbean Vibes or    Shine Bright LLCER File 8 From Isle to Isle.

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New Reading Guide: The Buddha of Suburbia
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New Reading Guide: The Buddha of Suburbia

As promised, our latest Reading Guide for Terminale LLCER, The Buddha of Suburbia  by Hanif Kureishi Is at the printers and will be available at the beginning of March.

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Hanif Kureishi: The Buddha of Suburbia
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Hanif Kureishi: The Buddha of Suburbia

Hanif Kureishi is a subversive writer in search of identity beyond the borders of race, gender and class. Vanessa Guignery draws a portrait of the author of The Buddha of Suburbia, My Beautiful Launderette and My Son the Fanatic.

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Conseil ciné : « La rivière »

Conseil ciné : « La rivière »

Ce long métrage engagé sonne l’alerte sur la crise écologique et donne la parole aux experts. 

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NATHAN TV en Côte d’Ivoire

NATHAN TV en Côte d’Ivoire

Lors de cette séance de travail ont été présentés Nathan TV ainsi que la collection d’ouvrages parascolaires  32 Semaines . Madame Patricia Sylvie YAO, Directrice du cabinet de la Première Dame de Côte d’Ivoire, Madame Nadine SANGARE, Directrice générale de la fondation Children of Africa, Monsieur Brahima COULIBALY, Directeur de la communication de la fondation Children of Africa et Madame Aïssatou CISSE, Responsable éducation à la fondation Children of Africa étaient également présents.  Le jeudi 02 décembre la cérémonie inaugurale officielle et la conférence de presse de Nathan TV organisées sous le haut patronage Madame Dominique OUATTARA, Première Dame de Côte d’Ivoire et Présidente de la fondation Children of Africa, ont eu lieu en présence de Madame Mariatou KONE, Ministre de l’éducation et de l’alphabétisation en Côte d’Ivoire, de hauts fonctionnaires du ministère de l’Education nationale, d’enseignants et de nombreux autres éminents invités.  Les enfants et enseignants de Nathan TV ont également participé à l’évènement. A cette occasion, Madame Mariatou KONE, Ministre de l’éducation et de l’alphabétisation en Côte d’Ivoire a chaleureusement remercié les éditions NATHAN, représentées par Mesdames Catherine LUCET et Ghada TOUILI, pour la qualité des cours dispensés sur la chaîne. Consulter les articles de presse relayant l’inauguration de Nathan TV en Côte d’Ivoire Koaci Ivoire Soir RTI Presse Côte d'Ivoire L'avenir Planète School Magazine L'infodrome Voir l’interview de Madame Ghada Touili, Directrice de NATHAN international  à propos de NATHAN TV     En savoir plus sur NATHAN TV Lire le communiqué de presse du lancement de la chaîne NATHAN TV

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Élèves enchantés lors de l’entrée de Joséphine au Panthéon
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Élèves enchantés lors de l’entrée de Joséphine au Panthéon

L’entrée au Panthéon de Joséphine Baker était accompagnée, comme pour Simone et Antoine Veil, de chants magnifiquement interprétés par les jeunes de la Maîtrise populaire de l’Opéra-Comique. Mais qui sait que cette formation musicale a pour origine un projet scolaire, fruit de la volonté conjointe d’une jeune musicienne et d’une principale de collège ? Avant d’être nommée directrice de la Maîtrise populaire de l’Opéra-Comique, Sarah Koné a d’abord recruté des chanteurs parmi les élèves du collège François Couperin (Paris, 4e arrondissement), et a créé avec la principale Dominique Gory la Compagnie Sans père, qui s’enrichissait chaque année de nouveaux arrivants.  La Compagnie se fait rapidement connaître pour la qualité de son travail, et en 2016, elle est rattachée à l’Opéra-Comique. Désormais, les élèves effectuent leur scolarité au collège Couperin, mais la campagne de recrutement est étendue à des établissements proches de Paris, et particulièrement aux enfants issus de l’enseignement prioritaire. Sarah Koné poursuit ainsi les mêmes objectifs artistique, éducatif et social : rassembler des jeunes de tous horizons pour les conduire à l’excellence artistique. Un engagement qui l’inscrit dans le sillage d’une certaine Joséphine Baker. Comment le projet est-il né ? Sarah Koné : Ce projet a pris forme en plusieurs étapes. En 2007, j’étais surveillante au collège Pierre Mendes-France, dans le 20e arrondissement de Paris. J’ai commencé à donner des cours de chant. L’idée me plaisait, mais les conditions n’étaient pas réunies pour un projet ambitieux. L’année suivante, j’ai décidé de changer d’établissement, et j’ai proposé un atelier chant au collège François Couperin. En septembre 2009, tout a changé avec l’arrivée d’une nouvelle principale, Dominique Gory. Elle venait du lycée Racine (Paris, 8e), un établissement à horaires aménagés. Elle a eu une oreille attentive. Nous avons monté un atelier classique, mais les conditions étaient optimales. J’ai eu le droit de recruter autant d’élèves que je voulais avec une séance par semaine, le midi, et nous avons réussi à produire une première comédie musicale, Starmania . Dominique Gory : De 2009 à aujourd’hui, nous sommes parvenus, par sauts successifs, à un niveau qu’on peut qualifier de professionnel. Sarah Koné : L’atelier du midi a évolué, grandi avec moi ; j’ai créé la Compagnie Sans Père,  qui encadre les Classes chantantes. La Grande Troupe, celle du collège, a donné naissance à la Petite Troupe qui regroupe quelques élèves qui jouent dans des conditions vraiment professionnelles : on les engage, ils sont rémunérés... Il existe encore une troisième structure, Chœur de scène, issue aussi de la grande, pour ceux qui n’ont pas envie de se professionnaliser mais qui, devenus de jeunes adultes, cherchent à se perfectionner. Sur quels critères les élèves sont-ils choisis ? Sarah Koné : Chaque année, le rituel est le même. J’auditionne des dizaines d’élèves de 6 e volontaires ; j’en choisis une douzaine qui intégreront la troupe formée depuis 2009. Aujourd’hui, ils sont plus de quatre-vingts collégiens et ex-collégiens de Couperin, âgés de 11 à 20 ans. Certains élèves arrivent de classes Cham (Classes à horaires aménagés en musique) ou ont une formation au conservatoire, d’autres n’ont jamais vu un instrument. Leur culture musicale n’est pas un critère de sélection. Je suis issue des populations qui ont reçu un enseignement artistique élitiste, de ceux qui croisent l’information et pour lesquels les parents ont des ambitions. J’ai grandi dans un opéra à l’âge de 10 ans. J’y ai appris l’endurance et l’exigence. Mais parallèlement, je suis une enfant de l’école de la République, et j’ai toujours eu ses valeurs en tête. Adulte, j’ai voulu m’adresser à un autre public, sans dévaluer la discipline. On travaille donc pour produire un spectacle de qualité, pour voir le fruit de nos efforts. Cette année, ce sera Alice au pays des merveilles . Dominique Gory : On ne recrute pas que de bons élèves. Cela fait partie de l’éthique du projet. Comment organiser un projet d’une telle ampleur ? Dominique Gory : Le programme est intense : 2 heures de répétition hebdomadaire pour chaque niveau, 1 heure de « tutti » (tous ensemble, dans le langage des musiciens) le mercredi après les cours, et un week-end entier de répétition par mois. Sarah a aussi aménagé un créneau d’une heure, un soir par semaine, pour les ex-collégiens. Un tel projet implique des moyens, et une organisation sans faille : les emplois du temps sont alignés pour que tout élève ait la possibilité d’intégrer la compagnie, et un préau est réservé aux répétitions. L’établissement tient à ce que les chanteurs soient répartis dans toutes les classes de manière aléatoire pour éviter toute politique de regroupement, ou tout effet de filière. Dans quelles conditions matérielles le projet s’inscrit-t-il ? Dominique Gory : Pour une grande part, et aussi surprenant que cela puisse paraître, le projet repose sur des bénévoles. Seules les heures des week-ends de Sarah Koné sont rémunérées, grâce à un soutien financier du département (Ville de Paris) qui n’est pas négligeable. Pour le reste, il faut se débrouiller. Du côté du rectorat, le projet est labellisé « Innovation et Expérimentation » par la CARDIE (Cellule académique Recherche et Développement en Innovation et en Expérimentation). Sarah, qui n’est pas enseignante, ne reçoit pour ses cours aucune rémunération. Sarah Koné : Je ne m’en alarme pas. Peu à peu, les projets prennent de l’ampleur, les institutions soutiennent leur rayonnement, et la compagnie fonctionne désormais comme une troupe professionnelle. Nous faisons donc appel à des fondations et des financements privés. Dominique Gory : Nous avons aussi un partenariat régulier avec le Monfort Théâtre qui offre chaque année à la troupe une résidence. Le théâtre accueille les spectacles du collège, mais il reçoit aussi, pour des périodes variables, les élèves qui souhaitent découvrir les métiers du spectacle. Sarah Koné : Les directeurs de ce théâtre viennent du monde du cirque ; ils accueillent toutes les formes de théâtre. Le lien se tisse tout au long de l’année avec un parcours culturel « Éducation du spectateur » soutenu par la DASCO (Direction des affaires scolaires de la ville de Paris). Tous les chanteurs vont au théâtre au moins deux fois, et cette année les élèves les plus grands de la classe d’accueil se joindront à eux. Le spectacle de fin d’année a lieu au mois de juin sur le vaste plateau du Monfort Théâtre. C’est une chance énorme. Comment construire un projet aussi ambitieux avec des élèves non musiciens ? Sarah Koné : Je mets tous les élèves à égalité. Tout est transmis oralement : je chante une mélodie, ils la retiennent. D’année en année, les progrès sont considérables. En 3e, ils arrivent à apprendre une chanson en une séance. Mais je me suis rendu compte qu’au bout d’un certain temps, lorsque je leur mets une partition entre les mains, sans avoir fait de solfège, ils suivent. Je ne leur parle jamais en langue de vulgarisation ; j’utilise toujours les termes musicaux appropriés. Je dirige avec une technique orchestrale. Quand je leur propose de me remplacer, ils reprennent ce langage très technique. J’ai grandi en Savoie près de la Suisse, où est utilisée une méthode très dynamique d’apprentissage de la musique, la méthode Dalcroz, dont je m’inspire beaucoup. Ce qui m’aide aussi pour transmettre le goût de la musique, ce sont mes origines : comme beaucoup de mes élèves, mon père africain ne comprenait rien aux techniques qu’on m’enseignait quand je chantais Carmen . Enfin, ce qui fait beaucoup, c’est la loi de la troupe : les grands s’occupent des petits. Cette structure installe une grande discipline dans le travail. Ils savent que je les choisis mais qu’ils choisissent aussi, et ils sont engagés, dans tous les sens du terme. En quoi l’existence de la compagnie change-t-elle la vie du collège ? Dominique Gory : Ce sont des choses difficiles à mesurer, mais je pense que c’est un projet qui a des implications à tous les niveaux. Les élèves de la troupe sont répartis dans toutes les classes. Les enseignants connaissent Sarah, et reconnaissent la qualité du projet. D’ailleurs, la plupart des professeurs viennent voir les spectacles de la Grande Troupe, et beaucoup suivent leurs élèves en allant voir ceux de la Petite Troupe. Le personnel de service reçoit des invitations. Sarah Koné : Les hommes et les femmes qui s’occupent de l’entretien sont les seuls à avoir le droit d’entrer dans la salle sans que j’interrompe la répétition. Ils suivent donc l’évolution du spectacle. Une année, l’une d’elles s’arrêtait toujours un moment et s’asseyait pendant que nous répétions une chanson qu’elle aimait particulièrement. Dominique Gory : Ce projet est fédérateur, c’est une vraie bannière. C’est unique parce que Sarah est unique. On ne réussit que si on avance ensemble, et je suis attachée à ce qu’on soit heureux dans notre travail. Le projet participe à cet état d’esprit. La formation existe parce que notre détermination est sans faille. Nous savons qu’il faut du temps pour convaincre, mais j’aspire à ce que la compagnie ait une reconnaissance plus large encore et que ce projet continue de faire rayonner notre collège. Je pense que ça apporte une belle sérénité à l’établissement. Interview publiée dans le numéro novembre 2015 de la NRP collège. Crédit photo : Photo d’archives AFP

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La démocratie : un modèle en péril

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La démocratie : un modèle en péril

Cet entretien en 10 questions permet de faire le point sur l'état actuel de la démocratie dans le monde. 

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Chypre, les enjeux d'une frontière

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Chypre, les enjeux d'une frontière

L’île de Chypre illustre les enjeux géopolitiques liés aux frontières externes, terrestres et maritimes.

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En Inde, les nationalistes religieux utilisent l'histoire indienne pour justifier la primauté des hindous sur les musulmans. 

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Les guerres dans le monde depuis 1945

L'évolution des conflits depuis 1945 : nature, formes et enjeux des guerres modernes. Une analyse géopolitique.

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