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NATHAN TV en Côte d’Ivoire

NATHAN TV en Côte d’Ivoire

Lors de cette séance de travail ont été présentés Nathan TV ainsi que la collection d’ouvrages parascolaires  32 Semaines . Madame Patricia Sylvie YAO, Directrice du cabinet de la Première Dame de Côte d’Ivoire, Madame Nadine SANGARE, Directrice générale de la fondation Children of Africa, Monsieur Brahima COULIBALY, Directeur de la communication de la fondation Children of Africa et Madame Aïssatou CISSE, Responsable éducation à la fondation Children of Africa étaient également présents.  Le jeudi 02 décembre la cérémonie inaugurale officielle et la conférence de presse de Nathan TV organisées sous le haut patronage Madame Dominique OUATTARA, Première Dame de Côte d’Ivoire et Présidente de la fondation Children of Africa, ont eu lieu en présence de Madame Mariatou KONE, Ministre de l’éducation et de l’alphabétisation en Côte d’Ivoire, de hauts fonctionnaires du ministère de l’Education nationale, d’enseignants et de nombreux autres éminents invités.  Les enfants et enseignants de Nathan TV ont également participé à l’évènement. A cette occasion, Madame Mariatou KONE, Ministre de l’éducation et de l’alphabétisation en Côte d’Ivoire a chaleureusement remercié les éditions NATHAN, représentées par Mesdames Catherine LUCET et Ghada TOUILI, pour la qualité des cours dispensés sur la chaîne. Consulter les articles de presse relayant l’inauguration de Nathan TV en Côte d’Ivoire Koaci Ivoire Soir RTI Presse Côte d'Ivoire L'avenir Planète School Magazine L'infodrome Voir l’interview de Madame Ghada Touili, Directrice de NATHAN international  à propos de NATHAN TV     En savoir plus sur NATHAN TV Lire le communiqué de presse du lancement de la chaîne NATHAN TV

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Festival America Literary Celebration in Vincennes
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Sélection culturelle

Festival America Literary Celebration in Vincennes

For its eighth edition (8-11 September), Festival America offers a plethora of activities around literature in the Americas. There is a day for school groups on Friday 9th.

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Une étape dans la recherche d'information : le document de collecte
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Une étape dans la recherche d'information : le document de collecte

Par Amélie Rouveron , professeure documentaliste dans l'Académie de Limoges, membres de l'A.P.D.E.N. Dans le cadre d'une collaboration entre le professeur de lettres et le professeur documentaliste, il est envisagé de travailler sur une forme de brouillon spécifique à la recherche d'information : le document de collecte. Ainsi, en s'inscrivant dans le questionnement « Informer, s'informer, déformer », les deux enseignants proposent à une classe de 4 e de chercher des articles et des images sur la thématique commune du réchauffement climatique Définition et objectifs du document de collecte Dans un premier temps, à l'aide d'un exemple de document de collecte projeté à la classe, le professeur documentaliste en explique les principes et les objectifs. Un document de collecte se présente sous la forme de (courts) extraits copiés-collés d'informations en ligne. On insiste sur la nécessité de mentionner précisément la source de chaque document, sachant que son origine (l'auteur, le lieu original de publication) n'est pas toujours indiquée clairement. Le document de collecte répond à plusieurs objectifs : comprendre le sujet de recherche, sélectionner des sites pertinents, préciser les objectifs et les intentions liés à la recherche, réunir plusieurs informations trouvées sur le web en un seul document, conserver une trace des recherches effectuées, varier les points de vue. Le professeur documentaliste explique et précise la notion de la pertinence des informations : un document est pertinent s'il apporte des éléments de réponse à la recherche d'information. Méthode du document de collecte Dans un deuxième temps, chaque élève pioche un sujet concernant le réchauffement climatique et réalise son propre document de collecte en respectant les consignes et en s'aidant de l'exemple projeté. Les élèves doivent sélectionner des informations sur le web et les déposer dans un nouveau document en citant la source de l'information (les adresses des sites utilisés). Ils ne doivent pas oublier de préciser les mots clés utilisés lors de la recherche pour trouver l'information. Le professeur documentaliste en profite pour rappeler les critères de fiabilité d'un site internet (sites institutionnels, ONG, articles de presse etc.), insiste sur la nécessité de citer ses sources et explique les notions de droit d'auteur et de plagiat. Les références des documents serviront à l'élaboration d'une sitographie commune à la classe. Les élèves utilisent un logiciel de traitement de texte pour produire le document qui ne doit pas excéder deux pages. Les deux enseignants évaluent au fur et à mesure de la séance les compétences travaillées : s'exercer à la lecture rapide et sélective, cerner les limites du sujet, définir le besoin d'information, évaluer la pertinence et la fiabilité des informations et citer les sources. NOTION INFO-DOCUMENTAIRE : DOCUMENT DE COLLECTE Une collecte de données se présente sous la forme d’une liste de courts extraits copiés-collés dont on donne à chaque fois la source. Il est le point de départ d’une recherche documentaire. Il peut être retravaillé et faire l’objet d’une évaluation individuelle et/ou collective sur les choix opérés. Le document de collecte produit est un document secondaire. Définition complète à consulter sur : http://wikinotions.apden.org/index.phptitle=Collecte_de_donn%C3%A9es SITOGRAPHIE INDICATIVE « Travailler différemment la prise de notes en 4e : introduction de la notion de "document de collecte" », Mes docs de doc , 22 octobre 2021. « Bilan de la première expérience du document de collecte » , in Marie Guillet Nallathamby. Doc à bord, professeure documentaliste , 19 février 2013. « Le document de collecte vu par les élèves » , in Hélène Mulot, L'Odyssée d'Ln : je tisse m@toile , 12 mars 2013. « Le document de collecte : quand la recherche documentaire devient écriture, mémoire et partage » , Doc pour docs , 2014. « Le document de collecte : un "savoir copier» , in Hélène Mulot. L'Odyssée d'Ln : je tisse m@ , 4 janvier 2016. « Recherche et évaluation de l'information : Le copier-coller et le document de collecte au collège et lycée » , Doc’Poitiers - Le site des professeurs documentalistes , 23 mars 2017. « Retour sur la notion de document de collecte » , in Nicole Boubee, Marion Carbillet, Hélène Mulot, Doc pour docs , 2 mai 2017.

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Outils pour le confinement : élèves aux besoins éducatifs particuliers
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Outils pour le confinement : élèves aux besoins éducatifs particuliers

Enseigner à distance est déjà un défi. Enseigner à des élèves aux besoins éducatifs particuliers peut sembler d'autant plus difficile. Heureusement les enseignants dans ce domaine utilisent déjà avec leurs élèves de nombreux outils qui peuvent s'avérer utiles pendant le confinement. En faisant le tour des sites académiques, nous avons trouvé plusieurs pistes différentes : L'équipe de l'Ecole inclusive de l'académie de Nancy Metz a mis en ligne un document spécifique avec des conseils pou r assurer la continuité pédagogique pour des élèves aux BEP . Il contient des liens vers des padlets avec des suggestions pour les enseignants d'EBEP en général, et un autre spécifiquement pour les enseignants d'élèves autistes, des conseils spécifiques pour aider les élèves avec peu ou pas d'accès aux outils numériques et le cas concret du blog d'une classe avec son emploi du temps d'une journée. Renaud Taillard nous a déjà présenté l'utilisation des TICE au service des langues dans des dispositifs ULIS. Pendant le confinement, ces outils deviennent les supports principaux de la continuité pédagogique. Chaque semaine, ou épisode, a un programme de matières variées , dont l'anglais, grâce aux C@psulis, petites vidéos avec des avatars animés préparées par les enseignants et les élèves.

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Les vrais sages sont des rebelles !

Les vrais sages sont des rebelles !

L'interview de Chiara Pastorini Pourquoi une bande dessinée sur les grands philosophes, et à travers eux l’histoire de la pensée, à destination des enfants (petits et grands) ? Il n’existe pas d’histoire de la philo en bande dessinée pour les enfants à partir de 8 ans, le livre permet donc aux plus jeunes de se familiariser de façon ludique à la pensée et à la vie des grandsphilosophes. La bande dessinée permet aussi de montrer que les philosophes classiques, ayant vécu pour certains plus que deux mille ans avant nous, ont encore des choses à nous dire aujourd’hui et peuvent toujours nous aider à mieux vivre au quotidien. Par exemple les préceptes stoïciens, en distinguant ce qui dépend de nous et ce qui ne dépend pas de nous, peuvent nous aider à mieux diriger nos attentes et nos désirs. Epicure peut nous aider à mieux faire face à la mort et à ne pas en avoir peur. Le questionnement des philosophes de la tradition classique fait par ailleurs écho au questionnement des enfants (qui commencent à se poser des questions philosophiques dès 3-4 ans…). Ces derniers (ou leur parents) peuvent donc trouver dans cet ouvrage des réponses, mais aussi surtout une façon d’aborder les questions. Le coté humoristique de l’ouvrage permet, enfin, de toujours garder une certaine distance par rapport à la pensée des philosophes, de la remettre en question de manière drôle. En ce sens la parole du philosophe ne limite jamais la liberté de pensée de l’enfant, au contraire, elle invite ce dernier à développer son esprit critique et à se construire une sagesse personnelle tout en s’amusant. Vous avez l’habitude de parler philosophie aux enfants, notamment dans vos ateliers. Sont-ils sensibles à la philosophie ? Oui. J’ai fondé Les petites Lumières, un projet d’initiation à la philosophie pour les enfants et les adolescents, il y a quelques années, et dans le cadre des ateliers que j’anime, je le constate régulièrement. Dès que le langage se met en place de façon complexe, vers 3-4 ans, les enfants commencent à se poser des questions philosophiques - sur leur identité, sur les autres, sur le monde qui les entoure - mais ils n’ont pas forcement la possibilité d’en discuter en famille ou à l’école. Les vrais sages sont des rebelles offre donc un espace de réflexion guidée pour que les enfants puissent aborder des questions qui leur tiennent au coeur : le bonheur, l’amitié, la justice, le rapport aux autres animaux, l’environnement etc. En quoi ces philosophes sont-ils des « rebelles » ? Chacun de ces philosophes a, à sa manière, adopté un point de vue différent par rapport à la vision du monde de son époque. Prenons par exemple Montaigne (XVIe siècle) : sa vision des animaux, qu’il ne considère pas inférieurs à l’homme, est très moderne. Ainsi que la vision que Rousseau (XVIIIe siècle) a de l’enfant et de l’éducation qu’il devrait recevoir. Sans parler de Socrate, Diogène, Nietzsche, Marx, Olympe de Gouges ou Simone de Beauvoir (eh oui, dans cette BD il y a aussi des femmes !...). Ce n’est pas toujours facile de faire comprendre des concepts difficiles. Comment se sont passées l’écriture et la collaboration avec Perceval Barrier, l’illustrateur ? Très bien ! Perceval a su avec humour et justesse donner corps à des concepts qui parfois sont en effet difficiles à comprendre. Ses illustrations prolongent le texte et contribuent à en construire le sens. Sans compter que j’aime beaucoup son trait affirmé et dynamique à la fois !  Enfant ou adolescente, auriez-vous aimé lire cette BD ? Oui. Et même adulte ! La bande dessinée "Les vrais sages sont des rebelles" Un livre pour découvrir en quoi la philosophie peut nous éclairer sur la façon de conduire notre vie, nous permettre d’acquérir un esprit critique et de fournir des outils pour se construire une sagesse personnelle ! Une autre façon de parler de philo aux enfants, plus incarnée, à travers des histoires personnelles, des anecdotes, de l’humour.  Socrate, Platon, Sénèque, Kant, Marx, Simone de Beauvoir… : les grands philosophes ont chacun, un jour, révolutionné la façon de penser. Aujourd’hui encore, ils nous invitent à prendre du recul, à repenser notre place dans le monde. Et à élargir notre horizon. Une bande-dessinée pour les enfants (petits et grands) dès 9 ans...et jusqu'à 109 ans !  En savoir plus et commander Chiara Pastorini , philosophe praticienne, animatrice et formatrice en philosophie avec les enfants, a fait ses études entre l’Italie, les Etats-Unis et la France, et soutenu sa thèse de doctorat sur Ludwig Wittgenstein à Paris 1 Sorbonne. Elle est chargée d’enseignement à l’université Paris 9 Dauphine (cours de philosophie Grands Enjeux Contemporains). Elle a publié en 2019, chez Nathan, un manuel pour les enseignants de cycles 2 et 3 Une année d’ateliers philo-art. Elle est l’autrice également de l’album. "Qu’est-ce qu’un humain ?" et de son jeu associé "A la découverte des émotions" (L’initiale,2020), de Galilée part en vrille (Les petits Platons, 2019), du CD "La philosophie racontée aux enfants" (par François Morel, Frémeaux éditions, 2019), de l’album "Pourquoi je ne suis pas un griffon ?" "Une aventure avec Platon" (Les Petites Lumières Editions, 2016) et de Ludwig Wittgenstein. "Une introduction" (Pocket, 2011). Elle collabore régulièrement à "Philosophie Magazine" et elle conçoit le scénario de la page BD L’atelier philo dans la revue belge Philéas et Autobule. Elle est la fondatrice du projet "Les petites Lumières" et anime des ateliers un peu partout : dans les écoles, dans les bibliothèques, dans les cafés. En 2015 et 2016 Chiara a collaboré à un projet de l’Éducation Nationale contre le décrochage scolaire dans les villes de Sarcelles et Argenteuil, où elle a suivi des adolescents qui étaient en grande difficulté scolaire. Formatrice en philosophie pour les enfants, Chiara assure actuellement des formations pour tous ceux qui souhaitent entreprendre cette aventure. Depuis 2017, elle est formatrice aussi pour la Fondation SEVE (Savoir Être et Vivre Ensemble). Chiara est maman de trois garçons et d’une fille, qui, comme tous les enfants, lui posent souvent des questions métaphysiques déroutantes ! Preface de Charles Pepin : philosophe et romancier français, est né en 1973 à Saint-Cloud. Il est l’auteur des best-sellers Les Vertus de l’échec (Allary Éditions, 2016), "La Confiance en soi" (Allary Éditions, 2018) et "La Planète des sages" (Dargaud, 2011 et 2015) et "50 nuances de Grecs" écrit en collaboration avec Jul. L’illustrateur : Perceval Barrier est né en 1983. Il a grandi dans les Corbières puis il a étudié le graphisme à l’ÉSAD d’Amiens. Il est graphiste à Lyon et illustrateur de plusieurs albums, notamment en collaboration avec Matthieu Sylvander et Thomas Bretonneau.

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Les clandestines de l’Histoire une exposition au CDI à partir de l’œuvre d’Olympe de Gouges - Lire au CDI
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Les clandestines de l’Histoire une exposition au CDI à partir de l’œuvre d’Olympe de Gouges - Lire au CDI

par Laure Bertrand, professeure documentaliste, membre de l’A.P.D.E.N. Depuis 2021, la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne d’Olympe de Gouges est au programme des EAF dans le parcours : « Écrire et combattre pour l’égalité ». Bien plus que ses qualités littéraires, c’est le contenu de ce texte et son universalité qui en font l’intérêt. Pour appréhender ces aspects, une enseignante de lettres modernes propose une recherche au CDI en collaboration avec les professeures documentalistes. L’ exposition En plus de l’œuvre d’Olympe de Gouges, les professeures documentalistes ont acquis le roman graphique de Catel Muller et José-Louis Bocquet qui lui est consacré. Afin de mettre en avant cet ouvrage ainsi que les autres titres 1 de la collection « Les Clandestines de l’Histoire », elles empruntent à l’éditeur Casterman l’exposition qui en fait la promotion 2 . Le prêt étant gratuit, il convient simplement de signer une convention. L’exposition est composée d’un panneau qui présente les quatre artistes (Olympe de Gouges, Joséphine Baker, Kiki de Montparnasse et Alice Guy) suivi, pour chacune, de trois planches extraites des bandes dessinées. Des travaux d’élèves Il est demandé aux élèves de 1re, après qu’ils ont étudié l’œuvre d’Olympe de Gouges et visité l’exposition au CDI, de créer à leur tour une planche biographique sur le modèle du panneau consacré à chaque clandestine. Par groupes, ils doivent choisir leur sujet dans une de ces deux listes : la première, donnée par les enseignantes, inclut des personnalités aussi différentes qu’Elisabeth Vigée le Brun, Louise Michel ou Beyoncé ; la seconde est constituée des cinquante « oubliées de l’histoire » présentées dans le jeu de cartes « osez l’égalité » de l’Université Paris Cité 3 . Outre les éléments biographiques, le panneau doit impérativement expliciter comment l’œuvre de la personnalité choisie lutte pour l’égalité. Avant d’exposer leurs panneaux, les élèves présentent à la classe le fruit de leurs recherches à l’oral. Prolongement : une exposition consacrée à George Sand Après une pause de quelques semaines, les professeures documentalistes mettent en place une exposition prêtée par la bibliothèque départementale de prêt et intitulée : « George Sand, la femme libre » 4 . – des rédactions de critiques littéraires et d’avis argumentés sur les romans ; – des conceptions d’affiches pour promouvoir les romans. Conclusion Au-delà de l’étude de l’œuvre d’Olympe de Gouges, ce projet a permis de travailler sur l’invisibilisation des femmes dans tous les domaines artistiques et donc de réfléchir à l’égalité et aux combats en cours pour y parvenir. 1. Voir bibliographie 2. Pour en savoir davantage sur l’exposition et pour l’emprunter cliquer ici 3. Lien vers le site web 4. Lien vers le site web   BIBLIOGRAPHIE Romans graphiques : • Kim Consigny et Séverine Vidal, George Sand, fille du siècle , Delcourt, 2020 • Catel Muller et José-Louis Bocquet, Jean-Luc Ruault, Kiki de Montparnasse , Casterman, 2007 • Catel Muller et José-Louis Bocquet, Joséphine Baker , Casterman, 2016 • Catel Muller et José-Louis Bocquet, Olympe de Gouges , Casterman, 2021 • Catel Muller et José-Louis Bocquet, Alice Guy , Casterman, 2021 Documentaires et essais : • Titiou Lecoq, Les grandes oubliées : pourquoi l’histoire a effacé les femmes , L’Iconoclaste, 2021 • Jean-Noël Jeanneney et Grégoire Kaufmann, Les Rebelles, une anthologie , CNRS, 2014 • Catherine Valenti, Les femmes qui s’engagent sont dangereuses , Gründ, 2017   NOTION INFO-DOCUMENTAIRE : Médiatisation La médiatisation est un processus de communication, de médiation d’un message ou d’une information qui suppose l’utilisation d’un ou plusieurs médias (presse écrite, radio, télévision, Web, affichage public). La médiatisation permet la publicité, au sens d’une diffusion, plus ou moins massive, autour d’un sujet, d’une personne, d’une organisation, d’un produit. Définition complète à consulter ici.

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Le modèle économique des réseaux sociaux - Lire au CDI
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Le modèle économique des réseaux sociaux - Lire au CDI

par Amélie Rouveron, membre de l’A.P.D.E.N La partie du programme de SNT (Sciences numériques et technologie) de la classe de seconde consacrée aux réseaux sociaux est parfois prise en charge par les professeurs documentalistes. Nous proposons une séquence pédagogique composée de quatre séances : une première séance introductive sur les réseaux sociaux numériques (RSN) et sur leur modèle économique, une deuxième sur le fonctionnement des réseaux sociaux et de leurs algorithmes, une troisième sur les traces et l’identité numériques et une quatrième sur les dérives et la cyberviolence. Panorama des RSN Cette séance introductive sur le modèle économique des RSN est l’occasion d’aborder un certain nombre de notions dont certaines sont à relier à l’EMI : cookies, données personnelles, économie de l’attention, influenceur, publicité ciblée, les règles de base du fonctionnement des réseaux sociaux, la distinction entre information, divertissement, communication et publicité. La séance commence par la projection d’un panorama historique des réseaux sociaux : les logos des réseaux sociaux et leurs dates de création sont projetés, et les élèves sont invités à identifier le réseau social correspondant à chaque logo et à en donner les principaux usages. Une fois ce tour de table terminé, les élèves construisent une définition commune d’un RSN. Une infographie sur les chiffres des RSN en 2022 permet d’observer et de commenter l’audience et la moyenne d’âge des utilisateurs pour chaque réseau social. Nous échangeons alors avec les élèves sur leurs habitudes, leurs usages et leurs représentations des RSN. « Si c’est gratuit, c’est toi le produit » Dans un deuxième temps, nous nous interrogeons sur les modalités d’accès aux RSN et sur les conditions de la gratuité de leur utilisation. La projection d’une vidéo 1 offre des exemples de données personnelles récupérées, ce qui permet la rédaction d’une définition d’une donnée personnelle et d’un cookie. Nous abordons alors les stratégies publicitaires sur les réseaux sociaux avec notamment la question de la publicité ciblée. Nous projetons alors des exemples de publicités contextuelles et comportementales issues de Facebook, Twitter et Instagram afin de questionner la notion de gratuité des contenus sur les RSN. Nous entrons dans le vif du sujet du modèle économique des RSN et de la monétisation des données personnelles. Nous souhaitons que les élèves prennent conscience qu’avec 4,7 milliards d’utilisateurs en 2022, les réseaux sociaux sont devenus le plus grand marché pour les annonceurs et les marques. La publicité et les influenceurs La troisième séance est consacrée au rôle des influenceurs comme relais des marques sur les RSN. Après un temps d’échanges avec les élèves, nous rédigeons une définition du rôle des influenceurs et une typologie de leurs activités en ligne. Nous abordons la question des publicités dans les publications des influenceurs et de leurs rémunérations en fonction de leurs audiences, de la taille de leurs communautés et de leur notoriété. Nous questionnons aussi les obligations légales des mentions dans les partenariats publicitaires et dans les publications sponsorisées. À travers des exemples de publications, les élèves déterminent si elles respectent ou pas les obligations légales. C’est ainsi l’occasion d’évoquer la publicité cachée. Nous terminons par les risques juridiques encourus par les influenceurs en cas de manquement à cette législation. D’autres modèles économiques possibles En conclusion, nous rappelons que, même si le modèle économique dominant des RSN est la publicité, il existe d’autres modèles économiques possibles : les commissions, les dons, les abonnements ou encore l’accès freemium. 1. Données personnelles : quand le numérique nous transforme en produit [en ligne]. Lumni, 17/11/2019 [consulté le 18/02/2023]. Disponible à l’adresse : https://www.lumni.fr/video/quandle-numerique-nous-transforme-en-produit   NOTION INFO-DOCUMENTAIRE : Médias sociaux en ligne Un média social est un outil de communication en réseau. Chaque profil identifié partage des contenus et entre en relation avec d’autres profils. Définition complète à consulter ici. SITOGRAPHIE INDICATIVE • Julien Baldacchino, « Influenceurs : «Ne pas révéler l’intention commerciale d’une publication, c’est puni par la loi », France Inter, 05/08/2021 tinyurl.com/rf-baldacchino • Vincent Fagot, « Twitter ou le difficile modèle économique des réseaux sociaux », Le Monde, 26/04/2022. tinyurl.com/lm-fagot • Héloïse Famié-Galtier, « Chiffres clés d’Internet et des réseaux sociaux en France en 2022 », BDM, 09/02/2022 https://tinyurl.com/bdm-framieg • Gilles Fontaine, « Le modèle économique des réseaux sociaux critiqué », France Inter, 16/10/2021 [consulté le 18/02/2023]. Disponible à l’adresse : tinyurl.com/rf-fontaine • Marjolaine Koch, « Influenceurs : peu de règles, beaucoup d’abus », et « enquête au royaume du mélange des genres » France Inter, 18/06/2021 et 19/06/2021 tinyurl.com/rf-koch1 – tinyurl.com/rf-koch2 • Vincent Matalon, « Accepter ou refuser les cookies ? On vous explique les nouvelles règles sur les traceurs publicitaires sur internet », France Info, 15/04/2021 tinyurl.com/fi-matalon  

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Rencontre avec Florian Zeller
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Rencontre avec Florian Zeller

Dans l’œuvre romanesque et théâtrale de Florian Zeller , très appréciée en France comme à l’étranger, trois pièces qui se font écho par leur titre générique – La Mère (2010), Le Père (2012), Le Fils (2018) – explorent la dimension tragique des liens familiaux lors de moments de rupture où les rôles vacillent. Découvrez aussi l'interview que Florian Zeller nous a accordé à l'occasion de la sortie du Carré Classique Le Fils >   Voir l'interview Comment interprétez-vous le succès de la figure du père dans la littérature contemporaine ? Il me semble que c’est une figure qui a toujours traversé la littérature, et pas seulement la littérature contemporaine. C’est encore plus vrai pour la littérature dramatique. Ce que je trouve mystérieux, en ce qui concerne le théâtre, c’est qu’il s’agit d’une forme artistique qui existe depuis l’Antiquité et qui ne cesse, à chaque époque, d’interpeler ses contemporains. Cela signifie que l’on vient bien chercher quelque chose de nécessaire dans ces salles obscures. Qu’est-ce que cela peut être ? Je me dis souvent que le théâtre se présente à nous comme une sorte de miroir. Un miroir dans lequel nous pouvons regarder la vie des hommes. Dans ce reflet, parfois déformant, nous venons nous observer, nous reconnaître, nous comprendre. À cet égard, ce n’est pas très surprenant que la figure du père occupe une place centrale, comme d’ailleurs la notion de famille. C’est notre vie que nous voyons sur scène, et notre vie se structure inévitablement autour des notions de transmission, de filiation, d’identité, de trahisons… Pourquoi avez-vous choisi le théâtre plutôt que le genre romanesque pour écrire La Mère , Le Père et Le Fils ? Ces trois pièces sont assez différentes, mais elles ont en commun d’explorer, avec des moyens propres au théâtre, des moments de rupture avec le réel. Le Père traite, disons, de la démence sénile. La Mère de la dépression nerveuse. Et Le Fils du trouble de l’adolescence. Ce qui m’intéressait, dans ces pièces (et notamment dans les deux premières), c’était de bâtir des labyrinthes dans lesquels le spectateur était censé se perdre, et vivre ainsi l’expérience troublante que les personnages étaient censés traverser. Au cours de la représentation du Père , par exemple, nous ne savions plus ce qui était vrai ou ce qui était faux, nous perdions la capacité à distinguer ce qui était réel de ce qui ne l’était pas. En somme, c’était comme si nous étions projetés dans la boîte crânienne de ce personnage. C’était une aventure purement subjective et déroutante. Je ne sais pas comment un roman aurait pu traiter de ce sujet de façon comparable. Ou plutôt comment il aurait pu mettre le lecteur dans un tel état d’incertitude. Or moi, c’est ce qui m’intéresse : inviter le spectateur à être dans une position très active dans la recherche de la vérité. Le Fils est-il né du désir de clore une sorte de trilogie familiale ou bien, comme pour les deux autres pièces, d’écrire pour un(e) comédien(ne) ? Il est vrai que j’ai écrit Le Père pour Robert Hirsch et La Mère pour Catherine Hiegel. Si j’ai écrit ensuite Le Fils, ce n’était pas pour former une trilogie. Mais parce que je voulais plus que tout écrire cette pièce-là en particulier. Elle me tenait extrêmement à cœur, notamment à cause du sujet qu’elle aborde. Le Fils raconte l’histoire d’un garçon de 17 ans qui n’arrive plus à vivre. Il est pris de phobie scolaire et, sans que l’on comprenne bien pourquoi, il est comme écrasé par l’angoisse et le mal-être. C’est aussi l’histoire de ses parents qui font tout ce qu’ils peuvent pour le sauver et le réconcilier avec la vie, et qui découvrent, à leurs dépens, leur impuissance fondamentale face à ce type de situation. C’est un sujet qui concerne énormément de monde et devant lequel beaucoup de gens sont désemparés. Le fait de mettre ce sujet en lumière, et notamment dans sa dimension psychiatrique, me semblait avoir beaucoup de sens. Parce qu’il y a, en France, une sorte d’ignorance et de honte de la maladie mentale ou psychique. Il y a tellement de jeunes qui ne sont ni accompagnés ni traités, et qui se retrouvent dans des situations de souffrance extrême. En général, ce sont des histoires qui se finissent mal. Les figures parentales que vous mettez en scène ont-elles pour modèle ou contre-modèle des archétypes littéraires ? Dans Le Fils , justement, le personnage qui me touche le plus, c’est celui du père. Il voit que son enfant ne va pas bien et, parce qu’il s’est séparé de sa femme plusieurs années auparavant et qu’il a ainsi détruit la cellule familiale pour refaire sa vie avec une autre femme, est persuadé qu’il est responsable de la situation. Il prend alors son fils chez lui et il entrevoit une possibilité de réparer tout ce qu’il croit avoir abîmé. Il voudrait être un père idéal. Pourtant, au fur et à mesure des scènes, on pressent que « le mal vient de plus loin », comme disait Phèdre. Mais il est tellement habité par sa propre culpabilité qu’il ne voit pas ce qui se passe sous ses yeux et il se révèle incapable de concevoir que le problème de Nicolas est peut-être d’un autre ordre. Il va prendre les mauvaises décisions, qui vont aboutir au suicide de son fils. C’est à cause de son sentiment de culpabilité qu’il va devenir réellement coupable. C’est en ce sens qu’il est un personnage tragique, au sens archétypal du terme : en luttant de toutes ses forces contre son destin, il l’accomplit plus certainement. La Mère, dans votre pièce éponyme, dit à son mari que leur fils l’a toujours « pris comme contre-exemple. Pour lui, rater sa vie, ça voulait direte ressembler. » Faut-il encore aujourd’hui tuer le père pour réussir sa vie ? Si « réussir sa vie » signifie être pleinement soi, indépendamment des attentes et des jugements des autres, alors oui, cela passe certainement par cet affranchissement symbolique. C’est d’ailleurs un passage obligé d’une extrême ingratitude. On n’en prend conscience qu’avec le recul – quand on devient soi-même père. Mais le plus douloureux, je crois, vient quand l’image du père s’anéantit d’elle-même. C’est un peu le sujet de ma pièce Le Père : le personnage traversait ce qu’on appelle l’extrême vieillesse et devenait, sous les yeux désolés de sa fille, un autre être, qui avait plus à voir avec un petit enfant dont il faudrait s’occuper qu’avec le souvenir de la figure paternelle qui l’avait structurée jusque-là. En un sens, cette pièce raconte ce moment où nous devenons les parents de nos propres parents. Le non-dit joue un rôle important dans votre art du dialogue. Savez-vous ce qui ne se dit pas entre le Père et sa fille, entre le Fils et son père ? Non, je ne le sais pas. Le matériau littéraire que j’utilise est volontairement très simple. C’est une écriture presque blanche. Ce qui m’importe, c’est en effet ce qui tient derrière les mots et, à cet égard, il m’a toujours semblé que l’extrême simplicité de la langue préserve l’énigme de ce qui se tient dans l’ombre et le silence. L’auteur qui m’a mis sur cette voie et qui, à cet égard, a eu une véritable influence sur moi, c’est Pinter. À travers son œuvre, j’ai réalisé que ce qui compte – au théâtre comme d’ailleurs dans la vie – c’est moins ce qui est dit que ce qui ne l’est pas. En écrivant, d’une certaine façon, je me contente de retranscrire ce que disent mes personnages. Quand ils acquièrent un degré d’existence suffisamment fort, j’ai presque l’impression qu’ils existent en dehors de moi. Je ne sais d’eux que ce qu’ils veulent bien m’en dire. Je peux pressentir ce qui ne se dit pas, mais je n’ai pas besoin de le nommer, de le figer, de le conscientiser. Et lors des répétitions, j’encourage souvent les acteurs à oser rester dans l’inconfort de cette incertitude. Et quand bien même je le saurais, ce qui compte, ce n’est pas ce que je sais, moi. C’est ce que les spectateurs vont pouvoir projeter dans ces espaces. Chacun entre dans une salle de théâtre avec sa propre histoire, et c’est avec cette histoire propre qu’une pièce rentrera en résonance. Tout cela se fait dans l’intimité entre le texte et le spectateur, et tout ceci s’opère magiquement, comme en dehors de l’intention de l’auteur. À moins de 40 ans, pourquoi et comment avez-vous exploré dans plusieurs pièces la « farce tragique » du grand âge ? Ce n’était pas mon intention initiale, du moins pas consciemment. À titre personnel, ayant été élevé en partie par ma grand-mère qui a été frappée d’une dégénérescence sénile alors que j’étais adolescent, je me sens concerné par ce sujet – mais qui ne l’est pas aujourd’hui ? Pour autant, je n’avais pas le désir particulier d’écrire à ce propos. Mon point de départ, c’était davantage le désir d’écrire pour Robert Hirsch. Il était à mes yeux le plus grand acteur français. C’est lui – c’est sa voix, son corps, sa façon si singulière d’être au monde – qui m’ont emmené sur ce territoire abîmé et tragique. Je me rappelle très précisément qu’en écrivant la pièce, je ne savais pas vraiment de quoi elle parlait. J’écris souvent comme on ferait un rêve : en me laissant entraîner par des forces que je ne maîtrise pas. Ce n’est qu’après l’avoir terminée que j’ai pu la regarder différemment, et me dire : « ah, c’est donc de ça qu’il s’agit… »   NRP - 30 octobre 2018

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La gamification dans l'enseignement : les escape games

La gamification dans l'enseignement : les escape games

Un levier de motivation Le jeu suscite la motivation de l'élève. Or la motivation pour s'engager dans le travail, c'est essentiel, comme le rappelle l'enseignant et chercheur québécois Rolland Viaud dans son livre  La motivation en contexte scolaire . Lorsque le jeu s'intègre dans une séquence didactique et qu'il s'adapte à la pédagogie de l'enseignant, il devient un vecteur d'apprentissage complémentaire pour consolider, réviser, mémoriser ou retravailler des notions abordées en classe. Les enseignants convaincus n'hésitent pas à avoir recours aux jeux dans leur classe car ils réenchantent les apprentissages et dédramatisent l’aventure scolaire.  Le jeu d'évasion pédagogique ou  Escape game Depuis peu, un nouveau jeu s'invite dans les établissements du secondaire. Né en 2008 au Japon, l’ Escape game  ou jeu d'évasion arrive en Europe dans les années 2010. Plusieurs joueurs sont enfermés dans une pièce et doivent résoudre une enquête dans un temps donné pour en sortir. En milieu scolaire et donc dans sa forme « sérieuse », cette pratique pédagogique innovante, parfois pluridisciplinaire, fonctionne en trois temps : l’immersion dans l’histoire avec les consignes ; la réflexion avec des énigmes parallèles à résoudre ; le débriefing, qui permet de revoir toutes les énigmes et de s'assurer que les notions sont acquises. En classe le «  serious  »  escape game  s'organise de deux façons. Soit les élèves et leur professeur créent le jeu d'évasion de A à Z au sein d'un projet comme au collège du Fort, à Sucy-en-Brie, en région parisienne. Durant l'année 2016-2017, deux professeures principales ont transformé deux salles en deux jeux d'évasion avec leurs classes sciences et européennes : «  L’usine à gaz  » (mathématiques, physique-chimie, sciences et techniques) et  « Missing or not missing »  (anglais, SVT, Sciences et techniques). Soit les élèves jouent à un escape game conçu par des enseignants et désormais par des éditeurs. «  La recette du bonheur  », un jeu en kit utilisé notamment par des 5e Segpa, revoit les notions mathématiques utiles à la codification et intègre dans son déroulement l'usage des outils numériques.  Lire la suite de l'article "La gamification dans l'enseignament" Les Escape Games Nathan Escape Games pour l’école Escape game bimédia… pour apprendre à raisonner, chercher, créer – Cycle 2 Auteur(s) : J. Garbarg-Chenon, H. Thibon Un Escape Game bimédia pour apprendre à raisonner, chercher et créer en classe ! En savoir plus et commander l’Escape game Nathan – Dipongo Escape Games Développement durable – CE et CM Auteur(s) : C. Bonneau, S. Pointu Collection dirigée par : E. Botalla Une démarche active et interdisciplinaire pour préparer l'élève futur citoyen face aux enjeux de développement durable ! En savoir plus et commander les Escape Games Escape Games Développement durable – CE En savoir plus et commander les Escape Games Escape Games Développement durable – CM Escape Games Français - Compréhension de textes CM Auteur(s) : E. Botalla Enseigner autrement le français et la compréhension de textes grâce à une pratique pédagogique innovante ! En savoir plus et commander les Escape Games Escape Games Français – CM Escape Games Maths - CE2, CM1, CM2 Auteur(s) : C. Bonneau, M.-C. Cosson, M. Vernet Sous la direction de : E. Botalla Quand les Mathématiques deviennent un terrain de jeu ! En savoir plus et commander les Escape Games Escape Games Maths CE2 En savoir plus et commander les Escape Games Escape Games Maths CM1 En savoir plus et commander les Escape Games Escape Games Maths CM2 Escape Games Sciences CM Auteur(s) : W. Freyssinet, S. Pointu, H. Villette-Zolty Collection dirigée par : E. Botalla Quand les Sciences deviennent un terrain de jeu ! En savoir plus et commander les Escape Games Escape Games Sciences CM   Escape Games Histoire CM Auteur(s) : E. Botalla Quand l'Histoire devient un terrain de jeu ! En savoir plus et commander les Escape Games Escape Games Histoire CM   Les escape games au collège Escape Games Mathématiques 6 e – Version papier Auteur(s) : A. Bedoussac, F. Castellana, A. Dominique, R. Geha Et si l’apprentissage des Maths devenait un jeu ? Une pochette d’Escape Games proposant 3 jeux pour apprendre et faire aimer les Mathématiques de façon ludique. En savoir plus et commander les Escape Games Mathématiques 6 e – Version papier   Escape Games SVT – Collège – Version papier Auteur(s) : N. Bihel, C. Courjaud, B. Guilloux, M. Jubault-Bregler Et si l'apprentissage des Sciences devenait un jeu ?... Une pochette d’Escape Games proposant 4 jeux pour apprendre et faire aimer les SVT de façon ludique. En savoir plus et commander les Escape Games SVT Collège – Version papier   Pochette Escape Games EMC EMI – Version papier Auteur(s) : C. Delorge, M. Laurent, G. Lipman Et si l'EMC et l'EMI devenaient un jeu ?... Avec la pochette d'Escape Games EMC - EMI, plongez vos élèves dans trois aventures passionnantes à vivre en équipes pour découvrir des thèmes du programme de façon ludique ! En savoir plus et commander les Escape Games EMC EMI Collège – Version papier Pochette Escape Games Français 6e/5e/4 e – Version papier Auteur(s) : A. Berthou-Sergeant, V. Christophe, E. Davodeau, J. Dozinel, F. Renner, C. Retrouvey Et si le Français devenait un jeu ?... Avec la pochette d'Escape Games Français, plongez vos élèves dans trois aventures passionnantes à vivre en équipes pour découvrir des thèmes spécifiques du programme de façon ludique ! En savoir plus et commander les Escape Games Français 6e/5e/4 e – Version papier Escape Games Anglais A1 > A2 – Version papier Auteur(s) : M. Canepa, P. Moore, E. Newman Et si la découverte culturelle devenait un jeu ?... Avec la pochette d'Escape Games Anglais A1 > A2, plongez vos élèves dans trois aventures passionnantes à vivre en équipes pour découvrir la culture anglophone de façon ludique ! En savoir plus et commander les Escape Games Anglais A1 > A2 – Version papier Escape Games Anglais Cycle 4 - (A2 / A2+ / B1) Auteur(s) : C. Baudry, P. Moore, E. Newman Et si la découverte culturelle devenait un jeu ?... Avec la pochette d'Escape Games Anglais Cycle 4, plongez vos élèves dans trois aventures passionnantes à vivre en équipes pour découvrir la culture anglophone de façon ludique ! En savoir plus et commander les Escape Games Anglais Cycle 4 - (A2 / A2+ / B1) Escape games Allemand A1 > B1 – Version papier Auteur(s) : N. Bibard, S. Morvan Touri Et si la découverte culturelle devenait un jeu ? Avec la pochette d'Escape Games Allemand A2>B1, plongez vos élèves dans trois aventures passionnantes à vivre en équipes pour découvrir la culture germanique de façon ludique ! En savoir plus et commander les Escape Games Allemand A1 > B1  – Version papier Escape Games Espagnol Cycle 4 Auteur(s) : P. Chupin, M. Roy, I. Santos Et si la découverte culturelle devenait un jeu ?... Avec la pochette d'Escape Espagnol cycle 4, plongez vos élèves dans trois aventures passionnantes à vivre en équipes pour découvrir la culture hispanique de façon ludique ! En savoir plus et commander les Escape Games Espagnol Cycle 4 Escape Games Physique-Chimie Cycle 4 – Version papier Auteur(s) : F. Amauger, F. Hauss Rizzetto, J. Henry, O. Renault Et si la découverte des sciences devenait un jeu ?... Avec la pochette d'Escape Games Physique-Chimie Cycle 4, plongez vos élèves dans 4 aventures passionnantes et ludiques à vivre en équipes. En savoir plus et commander les Escape Games Physique-Chimie Cycle 4 – Version papier Pochette Escape Games Histoire 6e/5e/4 e – Version papier Auteur(s) : M. Laurent, G. Lipman, M. Mirafza Et si l'Histoire devenait un jeu ? Avec la pochette d'Escape Games Histoire, plongez vos élèves dans trois aventures passionnantes à vivre en équipes pour découvrir des époques historiques de façon ludique ! En savoir plus et commander les Escape Games Histoire 6e/5e/4e – Version papier Les Escapes games pour le collège existent également au format numérique : en savoir plus Découvrez également nos collections d'escape games pour réviser pendant les vacances et cultiver le goût de la lecture  ! En savoir plus  

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