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Le Cas étrange du Dr Jekyll et de M. Hyde - R.L Stevenson

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Étude de la langue : objectif Brevet

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Étude de la langue : objectif Brevet

Des exercices qui permettent de réviser la conjugaison, l’orthographe, les fonctions grammaticales et les manipulations syntaxiques à connaître, et les différents types de formation des mots.

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Quand le quotidien devient étrange...

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Droits étrangers - Foreign rights

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ÊtrePROF, un vade-mecum pour l’enseignant du XXIe siècle
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ÊtrePROF, un vade-mecum pour l’enseignant du XXIe siècle

Par Armand Kadivar Dans son plan de réformes tous azimuts de l’Éducation nationale, Gabriel Attal a désigné la mère de toutes les batailles : le recrutement et la formation des enseignants. Face à ces manques, l’association Ecolhuma qui, comme son nom l’indique, vise à remettre de l’humain dans le système scolaire, a créé la plateforme ÊtrePROF. Fort aujourd’hui de ses 160 000 membres, le site propose un panel de ressources transdisciplinaires gratuites, créées par et pour des enseignants. L’association Ecolhuma Anciennement nommé SynLab, Ecolhuma est une association d’intérêt général, indépendante, apolitique et non confessionnelle née en 2012. Elle s’est donné pour mission de soutenir les enseignants et chefs d’établissement, afin de faciliter la réussite des 12 millions d’élèves en France, notamment à travers différents dispositifs d’accompagnement, en ligne ou en présentiel. Ecolhuma utilise le levier du numérique pour faire le pont entre les acteurs de terrain, la recherche, les expérimentations et les décideurs éducatifs. La théorie L’association est à l’origine d’enquêtes, fruits du travail de ses chercheurs internes et externes, et dont les notes sont accessibles sur son site. Quatre thématiques prioritaires définissent les horizons de recherche de l’observatoire : le décrochage scolaire, les compétences psychosociales, la santé mentale et la transition écologique. Le dernier rapport, publié en collaboration avec le think thank Terra Nova, se penche sur l’urgence d’une grande réforme de la formation continue des enseignants. Les auteurs de cette publication incitent à repenser le système de formation continue en mettant en place un processus différent : le développement professionnel continu, comme cela se fait dans le monde de la santé. La pratique : des sites pour le personnel éducatif Pour aider concrètement le monde éducatif, Ecolhuma a lancé le site internet ÊtrePROF qui propose de nombreuses ressources consultables gratuitement. Ce contenu se fonde non pas sur une approche disciplinaire mais sur un accompagnement pédagogique autour de la transversalité du métier. Ainsi, les ressources sont faites pour accompagner la vie des professeurs et les aider à faire progresser leurs élèves, à enrichir leur pédagogie et à gérer les relations avec le reste de la communauté éducative. On passe donc d’une fiche intitulée « Stopper les bavardages » à « 6 conseils pour survivre face à des collègues insupportables ». La prise en compte des aspects psychologiques du métier d’enseignant constitue l’une des singularités et, partant, l’une des forces d’ÊtrePROF, qui refuse que les membres de la communauté scolaire soient réduits à des numéros et met l’accent sur le soutien humain et la solidarité intraprofessionnelle. Pour les sujets qui requièrent davantage de documentation, des guides pratiques sont proposés, pour accompagner par exemple des élèves dys ou pour organiser une sortie scolaire. Enfin, des parcours de plusieurs heures sont mis en place : ce sont des séries de formations courtes pour aborder à son rythme un aspect du métier d’enseignant (développer le travail en équipe, mieux connaître ses élèves, prévenir le décrochage…) avec un expert ou un mentor. Un tel dispositif veut permet de pallier les lenteurs administratives. Si un enseignant découvre à la rentrée qu’il a un élève dyslexique dans sa classe alors qu’il n’a aucune expérience en la matière, les formations officielles pour qu’il apprenne à adapter son enseignement n’interviendront, dans le meilleur des cas, que 12 à 18 mois après. Les ressources ne sont pas exclusivement textuelles : la plateforme produit des podcasts, des tutoriaux en vidéo et des lives sur Facebook qui permettent d’échanger en direct sur le métier et ses problématiques.

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Le théâtre à Rome : un héritage étrusque

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Séquence pédagogique

Le théâtre à Rome : un héritage étrusque

Dans son Histoire romaine , Tite-Live narre comment les Romains ont importé le théâtre, héritage étrusque, et l’ont coulé dans leur moule.

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Le programme Baudelaire : les étudiants en parlent
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Le programme Baudelaire : les étudiants en parlent

Mis en place par la fondation Robert de Sorbon, le programme Baudelaire vise à promouvoir la culture française et l’égalité des chances. Il met à disposition de vingt jeunes par an une formation interdisciplinaire et expérimentale. Des étudiants bénéficiaires du programme ont pris la plume pour en dire plus… La culture et l’amour Imaginez un arbre au loin, en haut d’une colline. Il est beau, il est celui qui vous attire. Vous ne voulez que lui – au départ. Il vous semble personnel et personnalisé. Que ce soit un hêtre, un chêne ou un merisier : c’est le vôtre. Aussi, dans un certain sens, pourrions-nous appeler cet arbre « musique de Debussy », « rap urbain », « impressionnisme », ou « sculpture de Rodin ». Cet arbre représente notre marotte, ce qui nous fait vibrer. Il est notre appétence naturelle et profonde. Et des arbres comme cela, il en existe de disponibles pour chacun. La passion fait qu’on s’en approche. On remarque alors leur complexité : branches, ramifications. Puis viennent les racines qui dérivent vers une immensité, elle-même formée d’autres arbres encore bien cachés. Cette vaste forêt est le monde de la culture. Tout y est lié de ramures, d’évolutions, d’interconnexions élémentaires ou élaborées. Le début de cette exploration est une action tout sauf anodine : il s’agit du début d’un cheminement, inconscient ou pas, vers un nouveau monde. Dès lors, happés par notre curiosité, on ne peut plus faire demi-tour. Nous voulons naturellement connaître la suite. C’est de cette manière que la culture nous a piqués, nous, les étudiants du programme Baudelaire. Cette année, nous avons pu constater les liens racinaires, rhizomiques, entre ignominie de la Shoah et Histoire, Dessin, Écriture, Musique, Poésie, Théâtre ou Littérature. Ainsi, ce programme éminemment culturel semble aboutir au constat d’un lien indissociable entre amour et culture. L’amour étant la dynamique qui guide la culture. L’amour est un sentiment universel reliant les hommes, quels qu’ils soient, d’où qu’ils viennent. La culture est, quant à elle, un appel du pied aux curieux qui cherchent des réponses, en même temps qu’un rassemblement collectif à l’aune de ce que l’on aime communément. La culture étant créée par des personnes qui veulent partager une émanation de leur esprit, elle est entretenue par ceux qui aiment cette émanation. Ces derniers la font vivre en la réinterprétant et/ou en la réinventant. Elle vient également d’autres individus qui la partagent car ils en aiment aussi certains aspects. Ces passionnés dévoués tentent de nous montrer ce qui leur semble être digne d’être partagé, et ils nous signifient que ce qu’ils partagent peut nous rassembler. Sur fond d’amour de l’autre et d’amour de la création, ils en sont les messagers. Cet amour de l’autre est donc particulièrement remarquable dans le programme Baudelaire. On a voulu y rassembler des étudiants passionnés avant tout, sans considération sociale (alors que la culture a tendance malheureusement à favoriser les ségrégations entre ceux qui veulent la détenir, la freiner, l’arrêter, ou encore la garder pour eux). La culture doit être le lot de tous. Le Programme Baudelaire, par amour des autres, nous pousse ainsi à trouver et/ou explorer nos marottes, puis à les exploiter. Il incarne, à mon sens, l’esprit universaliste de la culture, empli de l’amour de l’autre et de celui de la création, en l’offrant à chacun. Lucien Mornat Retranscrire, incarner sans s’approprier « Je retourne ma peau, je traque l’inconnu. Je découvre un monde. » (Jean Cocteau) Dans le cours de littérature du programme Baudelaire, un projet touchant et ambitieux nous a été confié : retranscrire l’histoire de Monique Valcke Strauss, qui a grandi dans le monde chaotique de la Seconde Guerre mondiale. Elle a déposé sur des pages vierges ses souvenirs, essayant d’être la plus précise et honnête possible. Son regard sur le passé étant aujourd’hui empreint d’une interprétation adulte et réfléchie concernant chaque fait, elle nous livre un dialogue sincère entre l’enfant qu’elle fut et la femme qu’elle est devenue. Notre travail d’écriture convoque la précision et la retouche. Il s’agit de recoudre les mailles du récit qui se délient parfois, de combler les creux de la mémoire et de développer certaines relations qui le méritent, car le texte de Monique est une formidable mine de détails et de souvenirs qu’elle n’a pas toujours osé développer en raison de sa modestie. Souvent, lors de nos échanges, nous l’avons poussée dans ses retranchements, afin qu’elle nous précise les choses. Ainsi, nous devions creuser l’histoire et éclairer le texte à l’aide de détails qui renforceraient certains souvenirs confus. Mais ma grande appétence pour l’écriture m’a emportée : par inadvertance, je me suis approprié le texte. Sans m’en rendre compte, mon travail de réécriture devenait trop personnel, trop intime. On pouvait deviner ma patte dans certaines tournures de phrases, certainement trop romanesques, alors que Monique souhaitait un texte très épuré. Ce travail nous a donc demandé une grande rigueur et une forme d’honnêteté intellectuelle. Pour que l’oeuvre vive, chacun a dû respecter le ton, le goût, la couleur de l’écriture propres à Monique Valcke Strauss. En voulant reformuler certaines phrases, je me suis heurtée aux écueils de cet exercice particulier, et j’en ai découvert la principale règle : devoir fondamentalement s’oublier, en apprenant à incarner jusqu’au bout l’être que l’on anime. J’aime me sentir contrainte par cette règle, car j’ai le sentiment de m’aventurer sur un sol insoupçonné, digne et fertile. Il s’agit aussi d’un devoir, semblable à celui du comédien envers son personnage. Il se doit de le trouver en lui. Alors, toujours aussi curieuse, je compte bien persévérer, en travaillant plus subtilement encore le texte de Monique Valcke Strauss, cette matière si précieuse. Félicité Guerbet Importance de la pratique D’ordinaire, à l’université, la théorie prime sur la pratique. Or, au programme Baudelaire, on découvre une pratique qui prend davantage de place que la théorie. À travers cette pratique artistique, on éprouve une certaine liberté, le droit de s’exprimer, d’écrire et de dessiner. Loin du cadre scolaire classique, ce sont des artistes avant d’être des professeurs qui nous accompagnent. On est entourés par des écrivains, un plasticien, un passionné d’Histoire, un dramaturge. Nous, les étudiants, nous sommes les acteurs de chaque projet et non de simples observateurs. Nos œuvres, nos mots sont une part de nous-mêmes, déposée dans ce programme encore jeune. Une singularité ressort de chacun de nous car nous ne sommes pas des élèves, mais des personnes avec une capacité de créativité et d’imagination. La pratique entraîne une liberté qu’on ne retrouve pas dans le cadre d’une scolarité académique. Pour la plupart, c’est une découverte permanente : un amour pour l’écriture, un goût pour l’art abstrait et des anecdotes inconnues découvertes dans les manuels d’Histoire. Enfin, les pratiques sont diverses et permettent une totale implication de notre part car tous nos sens se retrouvent stimulés. Natacha Da Silva-Baudry et Kadiatou Konaté Un jeu Le programme Baudelaire est une chance. Nous y suivons des cours pluridisciplinaires enseignés par des artistes. Le cours qui me touche tout particulièrement est la classe de poésie dirigée par Florient Azoulay. Avec lui, nous travaillons sur la poésie de Walt Whitman en vue d’un spectacle à la Maison de la Poésie. Nous y constatons la puissance qu’un mot peut receler. Avec lui, nous pouvons passer une heure à parler d’un mot unique, parfois de deux... Pour évoquer toute la puissance d’un mot et celle de son message, nous prenons des heures. Le temps est suspendu. Les poèmes, les rimes, les mots m’ont toujours fasciné. Lorsque j’étais enfant, je devinais que se cachait un réel pouvoir derrière les mots. Je devinais que le langage était magique. Et je n’avais qu’un désir : tout savoir. Mais pour cela, il me fallait lire, afin de déchiffrer les messages cachés. Cependant, je croyais que la littérature n’était pas pour moi, qu’elle me restait inatteignable du fait de ma dyslexie. Mais Madame Ladjali, ma professeure de français, m’a ouvert une porte. En cours, j’ai découvert la puissance de la littérature et peu à peu les mots me faisaient moins peur. J’apprenais à les dompter. Après le Bac, que paradoxalement j’ai eu grâce à mes résultats de français, ma professeure m’a proposé d’intégrer le programme Baudelaire, où j’ai pu vérifier et mettre en pratique toutes mes intuitions. C’est alors que le jeu a vraiment pu commencer. Jean Palomo Del Rio

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Illusions perdues de Xavier Giannoli, une adaptation au service de l’étude du roman
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Sélection culturelle

Illusions perdues de Xavier Giannoli, une adaptation au service de l’étude du roman

Il fallait un sacré culot pour adapter au cinéma le texte dont Marcel Proust disait qu’il était le plus grand roman de Balzac. Si les illusions demeurent définitivement perdues, le pari de Xavier Giannolli, lui, est des plus réussis. Miroir d’un temps où abondaient les fausses rumeurs propagées par les « canards », Illusions perdues apparaît aussi, par analogie, celui de notre époque où abondent les fake news . Deux chemins vers la réussite sociale Poursuivant l’entreprise d’Honoré de Balzac, Xavier Giannoli met en scène la transformation d’un caractère trop innocent pour être absolument honnête. Si Lucien Chardon, apprenti-imprimeur d’Angoulême, apparaît effectivement au départ comme un poète idéaliste, sa montée « à la capitale » ne tarde pas à balayer ses scrupules. Les élèves, dès le visionnage de la bande-annonce, seront d’ailleurs sensibles aux transformations physionomiques du personnage, entre la situation initiale où il dédie son recueil de poèmes à sa noble protectrice, Madame de Bargeton, et le cœur de l’action où Lucien de Rubempré pense avoir définitivement conquis le Tout-Paris de la Restauration. Dans le roman, le héros de Balzac est immédiatement confronté à un dilemme : choisir entre « le Cénacle » et le Journalisme, ou si l’on préfère, entre l’anonymat et le renom. Le film amplifie ce ressort dramatique en soulignant les tiraillements du héros, amant « romantique » d’une jeune et belle comédienne (Coralie) et – en même temps – billettiste sans foi ni loi. La tentation de l’argent et du vice Pour faire son trou dans le petit monde des lettres, il faut moins du génie que des relations. Au contact d’Étienne Lousteau, rédacteur en chef d’un des nombreux « canards » chargés de faire la pluie et le beau temps sur les sorties théâtrales et les livres fraîchement édités, Lucien va devoir faire le deuil de ses belles illusions. La représentation cinématographique d’une presse d’autant plus florissante qu’elle est sans déontologie permettra aux élèves de 2 de de faire le lien entre deux parties du programme, le roman et la presse. Aux heures fastes du « boulevard du Crime », où se croisent prostituées, écrivains et journalistes, pour qu’un livre soit acheté en nombre, pour qu’une pièce fasse salle comble, tout dépend de la capacité des « canards » à provoquer la « claque », autrement dit, à faire le « buzz ». Guidés par l’appât du gain, ces derniers se rangent prioritairement du côté du directeur de théâtre ou de l’éditeur le plus offrant. Dans le roman qui sert de trame scénaristique à l’adaptation cinématographique, Balzac s’était plu à décrire cette société faussement lettrée qui a fait du paraître son maître-mot. Or l’auteur lui-même, pour Illusions perdues notamment, a été « descendu » par quelques plumes acérées dont celle de Jules Janin qui dans Le Corsaire (journal où écrit Lucien) persifflait : «  Ce livre, dans lequel on n’entre que comme dans un égout […]  ». Une chute brutale et cruelle Tout rapprochement de ce théâtre des vanités avec les mœurs de la cour versaillaise dans Ridicule (1996) de Patrice Leconte ne serait dès lors nullement fortuite, pas moins que l’affairisme journalistique épinglé dans Bel-Ami (1885) de Maupassant. D’abord, « plume » dans un journal « libéral », Lucien se fait acheter par un journal « royaliste ». Opportuniste par esprit de revanche, Lucien fait le pari risqué d’être des deux bords à la fois, se mettre du côté du Roi pouvant lui permettre de récupérer la particule de sa mère : « De Rubempré ». Un film pour disserter et s’enrichir culturellement En regard avec le roman dont il s’inspire, le film peut permettre d’engager la problématique de dissertation suivante centrée la personnalité du héros : « Dans quelle mesure Lucien, tel qu’il apparaît dans le roman et dans le film, peut-il être caractérisé comme un personnage paradoxal, tiraillé entre sonmoi profond et son moi social ?  » Outre ses qualités cinématographiques propres, le film de Xavier Giannoli met en scène tous les genres littéraires : poésie, roman, théâtre (Coralie jouant par exemple la Bérénice de Racine) et textes d’idées, à travers le thème omniprésent de la presse. De plus, du point de vue de la réception des élèves, le jeune âge du personnage principal et de sa compagne ne peuvent que renforcer une forme de lecture mimétique. La confrontation du roman donnera ainsi lieu à une séquence qu’on pourra intituler « Des Marguerites aux canards déchaînés ». Les trois premiers titres retenus ici sont repris du chapitre 10, « Parcours initiatiques », proposé dans le manuel Nathan 2 de , Horizons pluriels , qui étudie cinq extraits de la deuxième partie d’ Illusions perdues , p.241-246.

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Une étape dans la recherche d'information : le document de collecte
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Une étape dans la recherche d'information : le document de collecte

Par Amélie Rouveron , professeure documentaliste dans l'Académie de Limoges, membres de l'A.P.D.E.N. Dans le cadre d'une collaboration entre le professeur de lettres et le professeur documentaliste, il est envisagé de travailler sur une forme de brouillon spécifique à la recherche d'information : le document de collecte. Ainsi, en s'inscrivant dans le questionnement « Informer, s'informer, déformer », les deux enseignants proposent à une classe de 4 e de chercher des articles et des images sur la thématique commune du réchauffement climatique Définition et objectifs du document de collecte Dans un premier temps, à l'aide d'un exemple de document de collecte projeté à la classe, le professeur documentaliste en explique les principes et les objectifs. Un document de collecte se présente sous la forme de (courts) extraits copiés-collés d'informations en ligne. On insiste sur la nécessité de mentionner précisément la source de chaque document, sachant que son origine (l'auteur, le lieu original de publication) n'est pas toujours indiquée clairement. Le document de collecte répond à plusieurs objectifs : comprendre le sujet de recherche, sélectionner des sites pertinents, préciser les objectifs et les intentions liés à la recherche, réunir plusieurs informations trouvées sur le web en un seul document, conserver une trace des recherches effectuées, varier les points de vue. Le professeur documentaliste explique et précise la notion de la pertinence des informations : un document est pertinent s'il apporte des éléments de réponse à la recherche d'information. Méthode du document de collecte Dans un deuxième temps, chaque élève pioche un sujet concernant le réchauffement climatique et réalise son propre document de collecte en respectant les consignes et en s'aidant de l'exemple projeté. Les élèves doivent sélectionner des informations sur le web et les déposer dans un nouveau document en citant la source de l'information (les adresses des sites utilisés). Ils ne doivent pas oublier de préciser les mots clés utilisés lors de la recherche pour trouver l'information. Le professeur documentaliste en profite pour rappeler les critères de fiabilité d'un site internet (sites institutionnels, ONG, articles de presse etc.), insiste sur la nécessité de citer ses sources et explique les notions de droit d'auteur et de plagiat. Les références des documents serviront à l'élaboration d'une sitographie commune à la classe. Les élèves utilisent un logiciel de traitement de texte pour produire le document qui ne doit pas excéder deux pages. Les deux enseignants évaluent au fur et à mesure de la séance les compétences travaillées : s'exercer à la lecture rapide et sélective, cerner les limites du sujet, définir le besoin d'information, évaluer la pertinence et la fiabilité des informations et citer les sources. NOTION INFO-DOCUMENTAIRE : DOCUMENT DE COLLECTE Une collecte de données se présente sous la forme d’une liste de courts extraits copiés-collés dont on donne à chaque fois la source. Il est le point de départ d’une recherche documentaire. Il peut être retravaillé et faire l’objet d’une évaluation individuelle et/ou collective sur les choix opérés. Le document de collecte produit est un document secondaire. Définition complète à consulter sur : http://wikinotions.apden.org/index.phptitle=Collecte_de_donn%C3%A9es SITOGRAPHIE INDICATIVE « Travailler différemment la prise de notes en 4e : introduction de la notion de "document de collecte" », Mes docs de doc , 22 octobre 2021. « Bilan de la première expérience du document de collecte » , in Marie Guillet Nallathamby. Doc à bord, professeure documentaliste , 19 février 2013. « Le document de collecte vu par les élèves » , in Hélène Mulot, L'Odyssée d'Ln : je tisse m@toile , 12 mars 2013. « Le document de collecte : quand la recherche documentaire devient écriture, mémoire et partage » , Doc pour docs , 2014. « Le document de collecte : un "savoir copier» , in Hélène Mulot. L'Odyssée d'Ln : je tisse m@ , 4 janvier 2016. « Recherche et évaluation de l'information : Le copier-coller et le document de collecte au collège et lycée » , Doc’Poitiers - Le site des professeurs documentalistes , 23 mars 2017. « Retour sur la notion de document de collecte » , in Nicole Boubee, Marion Carbillet, Hélène Mulot, Doc pour docs , 2 mai 2017.

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Jack Kirby: the Man who Created the Eternals
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Rendez-vous

Jack Kirby: the Man who Created the Eternals

The Eternals movie is based on the Eternals comic and characters created by Jack Kirby, which was first released in 1976.

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Étude du discours I have a dream de Martin Luther King

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Séquence pédagogique

Étude du discours I have a dream de Martin Luther King

Pour les classes de 1re pro, mais également en 2de générale, la séquence propose une étude en contexte du discours I have a dream de Martin Luther King.

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Le lycée : nouvelle étape pour l’orientation

Le lycée : nouvelle étape pour l’orientation

La vocation des Éditions Nathan est d'accompagner les élèves dans leur parcours , et de contribuer à les soutenir dans leur choix, tout au long de leur scolarité. La question de l’orientation étant au cœur de la réforme du lycée, nous avons souhaité nous associer à l’ONISEP pour nos nouveaux manuels de 2de et de 1res générales . Les élèves trouveront en introduction de chaque manuel, dans toutes les disciplines, des pages d’informations qui les aideront, ainsi que leurs parents, à se repérer dès leur entrée en Seconde. Les enseignantes et les enseignants , trouveront également dans leurs spécimens des pages spécifiques dédiées à l’orientation , pour leur permettre d’aider les élèves dans leur parcours. Le parcours de chaque lycéen est marqué par des étapes, « des procédures d’orientation » : des choix sont à formuler. Les étapes de procédure (choix de la voie, choix des enseignements de spécialité, Parcoursup…) sont le point d’orgue d’une démarche progressive . Mais l’enjeu de l’orientation des jeunes est plus large que la question des procédures et du simple court terme. Il réside dans leur capacité à se projeter dans l’avenir et à s’orienter tout au long de la vie : à acquérir des repères sur le monde économique et professionnel et sur les formations, et apprendre à valoriser leurs atouts scolaires ou extra-scolaires. Nathan et l’ONISEP s’associent pour éclairer les élèves dans leurs choix, les amener à être acteurs de leurs parcours, à se poser les bonnes questions et à se projeter vers le supérieur. En plus des informations rassemblées dans les manuels scolaires, nous mettons à disposition : des interviews métiers détaillées des renvois vers des pages pertinentes de l’ONISEP des infographies pour comprendre en un coup d’œil les spécialités des nouveaux programmes des analyses proposées par des professionnels A découvrir ICI 

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Nathan partenaire de la charte éthique QWANT Junior

Nathan partenaire de la charte éthique QWANT Junior

Qwant Junior est le premier moteur de recherche consacré aux enfants qui leur permet d'apprendre en toute sécurité. QWANT Junior ne collecte aucune donnée sur ses jeunes utilisateurs et ne contient pas de publicité. Les résultats de recherche y sont filtrés pour écarter tout contenu inapproprié : pornographie, violence, consommation de drogues ou incitation à la haine. La vocation de Qwant Junior est de mettre en avant des résultats à vocation éducative. « Qwant Junior est bien plus qu’un moteur de recherche sécurisé pour les plus jeunes. Au cœur de l’écosystème numérique de l’enfance, il a la responsabilité de lancer des initiatives pour créer un Web mieux adapté aux plus jeunes. Ainsi, la Charte Éthique Qwant Junior permet aux parents et aux enseignants d’avoir davantage confiance dans les services utilisés par leurs enfants », explique Jean-Baptiste Piacentino, DG adjoint de Qwant. En savoir plus sur QWANT Junior Les engagements-clés de Nathan avec la charte QWANT Junior Nathan signataire de la Charte Éthique s’engage à travers ses sites et services à  promouvoir et respecter les principes d’un Internet éducatif responsable, et notamment à : Proposer un contenu adapté aux enfants Respecter la vie privée des enfants  Respecter la vie privée des parents Refuser la marchandisation de l’enfant En savoir plus sur la Charte éthique QWANT Junior Nathan s'engage pour la protection des droits de l'enfant et de la vie privée des internautes La protection des droits de l’enfant est un axe de développement éditorial majeur chez Nathan. Les auteurs, spécialistes de l’éducation et de la petite enfance, les éditeurs et l’ensemble des collaborateurs œuvrent chaque jour pour proposer des contenus adaptés à nos publics, dont les enfants. Notre mission d’éditeur est aussi et surtout de faciliter la transmission des savoirs et de porter les valeurs de citoyenneté au cœur de nos publications pour le progrès de tous les enfants. Nos sites et nos ouvrages, qu’ils soient papiers ou numériques visent notamment à faire apprendre à l'élève et à l'enfant, les valeurs du « Vivre ensemble », en mettant en avant les notions de liberté, d'égalité, de laïcité, de solidarité et de respect de l’autre, des autres. Les équipes de Nathan veillent ainsi à lutter contre les stéréotypes et la discrimination sous toutes ses formes et ont également à cœur de favoriser toute forme de bienveillance dans l’éducation et veillent à enrichir les connaissances des enfants pour les aider à grandir, leur permettre de comprendre le monde et de s’y ouvrir. Les Éditions Nathan accordent également une grande importance à la protection des données des internautes qui visitent nos sites et utilisent nos contenus numériques.  Les mesures prises en la matière reposent sur les principes du consentement explicite des données personnelles, la transparence et la pertinence quant à la finalité du traitement envisagé de ces mêmes données, nous évitons donc toute forme de marchandisation de l’enfant par quelqu’action de démarchage commercial inappropriée. A propos de Qwant et de Qwant Junior Lancé par la société Qwant en 2015, Qwant Junior est un moteur de recherche spécialement conçu pour les enfants de 6 à 12 ans. Qwant Junior filtre les contenus choquants (pornographie, violence, consommation de drogues, incitation à la haine), ne collecte aucune donnée sur ses jeunes utilisateurs et ne contient pas de publicité. Développé en collaboration avec l’Éducation Nationale, il est maintenant utilisé tant dans les écoles que dans les foyers. Qwant est le premier moteur de recherche européen, à la fois performant et éthique. Il repose sur deux piliers fondamentaux : protéger votre vie privée en ne collectant aucune donnée personnelle liée à vos requêtes et garantir neutralité et impartialité des résultats. Lancé en 2013, il reçoit aujourd’hui plus de 60 millions de visites par mois.

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Spécialité LLCER

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Auteurs, illustrateurs

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Vous accompagner dès les premières étapes de la création du livre jusqu'à la rencontre avec les lecteurs et les utilisateurs.

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Les spécialités gagnantes sur Parcoursup

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Les spécialités gagnantes sur Parcoursup

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